L’Albanie (Shqipëri ou Republika e Shqipërisë [ɾɛˈpubliˌka ɛ ˌʃcipˈɾi:s], « pays des aigles »)
est une république située en Europe du Sud à l’ouest de la péninsule des Balkans,
possédant une ouverture sur la mer Adriatique et sur la mer Ionienne.
Le mausolée d'Enver Hoxha situé au centre de Tirana, a été inauguré en 1988 pour abriter
la dépouille de l'ancien leader de l'Albanie communiste.
Populairement désigné sous le nom de la Pyramide, il a été conçu par un groupe d'architectes
sous la direction de sa fille, Pranvera Hoxha, et du mari de celle-ci, Klement Kolaneci.
Le mausolée de Bourguiba est un monument sépulcral situé à Monastir en Tunisie,
abritant notamment la dépouille de l'ancien président Habib Bourguiba, le père de l'indépendance tunisienne, décédé le 6 avril 2000[1].
Le mausolée construit du vivant de Bourguiba, en 1963, selon les caractéristiques de l'architecture traditionnelle (style arabo-musulman moderne), se trouve dans la partie occidentale du cimetière Sidi El Mézeri, le principal lieu de sépulture de la ville, au bout de l'allée principale longue d'environ 200 mètres et large de trente mètres. Il abrite non seulement le corps du président défunt, mais aussi ceux de ses parents et de ses frères, ainsi que d'autres membres de la famille dans deux autres salles. Il a été agrandi en 1978.
L'édifice, encadrés par deux minarets de 25 mètres de hauteur, est surmonté d'un dôme doré qui est lui-même entouré de deux coupoles vertes. La porte d'entrée du mausolée ainsi que la grille qui sépare celui-ci du reste du cimetière sont deux beaux exemples de l'art tunisien.
Dans le mausolée se trouve un petit musée où sont conservés quelques effets personnels du président Bourguiba : son bureau du palais présidentiel de Carthage, ses stylos, passeports et carte d'identité, ses lunettes ainsi que ses photos et ses costumes (occidental et traditionnel : jebba, chéchia, fez)[2].
MONASTIR
Monastir (arabe : المنستير) est une ville côtière du Sahel tunisien, au centre-ouest de la Tunisie,
située sur une presqu'île au sud-est du golfe d'Hammamet, à une vingtaine de kilomètres à l'est de Sousse
et à 162 kilomètres au sud de Tunis.
En 2004, la population de la municipalité atteint 71 546 habitants[1].
La ville est le chef-lieu du gouvernorat du même nom depuis 1974[2].
Monastir | |
---|---|
À l'étage supérieur de l'aile sud-est se trouvait une petite mosquée abritant un mihrab. Elle est aujourd'hui utilisée comme musée où sont exposés des objets provenant de la région ainsi que de Kairouan.
Parmi les monuments importants de la ville figure également la Grande Mosquée de Monastir, édifice en pierre de taille d'architecture sobre élevé au IXe siècle puis agrandi au cours des XIe et XVIIIe siècles[10].
Monastir dispose d'un stade de football, le stade Mustapha Ben Jennet, où évolue l'Union sportive monastirienne.
La salle omnisports de Monastir, troisième salle couverte du pays avec une capacité d'accueil de 4 075 places, y est inaugurée le 8 avril 2006.
Outre l'ancienne salle omnisports existent des terrains découverts de basket-ball et de handball ainsi que trois terrains annexes de football. Une piscine couverte accueille le club de natation alors que le Tennis Club de Monastir occupe les terrains de tennis du stade municipal[Quoi ?] où se déroule à plusieurs reprises un tournoi international junior[Quoi ?] ; un autre club de tennis occupe les terrains du complexe touristique El Habib. Le complexe sportif accueille aussi d'autres activités comme le sport féminin, le football en salle et les arts martiaux.
La ville de Monastir est jumelée avec :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Monastir
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%BCnster_(Westphalie)
En janvier 1534, le précheur anabaptiste Jan Matthijs envoya d'Amsterdam un certain Jean de Leyde, « apôtre » qu'il avait lui-même baptisé en novembre 1533, vers Münster.
Le 2 mars 1534 (mais selon certaines sources dès la mi-février même), il lui emboîta le pas et proclama Münster «Jérusalem céleste».
Bien que le nouveau conseil des échevins soit favorable aux idées des anabaptistes, l'arrivée de Matthijs déchaîna le jour même une controverse des Images en ville. Toutes les églises et monastères furent dévastés afin d’expurger les traces du passé mensonger. Le prédicateur annonça son « Programme apocalyptique[1] » :
Le 24 février 1534, Matthijs enjoignit aux habitants de Münster de venir se faire baptiser ; celui qui entendait s'y refuser devait quitter la ville avant minuit. On ordonna de brûler tous les livres à l'exception des Bibles. Matthijs déclara la communauté des biens et la Polygynie (une forme de polygamie).
Entretemps, l’évêque de Münster Franz von Waldeck avait fait arrêter Bernd Rothmann le 23 janvier 1534 et entreprit d'assiéger la ville dont il avait été chassé.
Le 5 avril 1534, jour de Pâques, dans un prèche sur la Place du Marché, Matthijs se présenta comme le Nouveau Gédéon.
Après une ultime vision du jugement dernier, il monta à cheval, accompagné de quelques fidèles, et sortit sans armes de la ville pour réclamer la reddition des assiégeants. Il fut immédiatement jeté à bas et mis en pièce par des lansquenets[1].
Après l'exécution de Matthijs aux portes de la ville assiégée (avril 1534), Jean de Leyde se proclama « roi de Sion », confirma la communauté universelle des biens et des personnes (la polygamie).
La ville de Münster, réduite par la famine et les épidémies, ne se rendit que le 25 juin 1535. Lors du dernier assaut, tous les anabaptistes qu'on put saisir furent passés par le fil de l'épée, et le carnage ne s'interrompit qu'au bout de deux jours.
Quant à Jean de Leyde, il fut détenu six mois en attente d'un châtiment exemplaire puis fut torturé et mis à mort en public le 22 janvier 1536.
À l'origine, le Send était une fête religieuse, suivie par de nombreux forains. Aujourd'hui c'est une foire qui a lieu en mars, en juin, et en octobre.
Elle rappelle l'épée du Send.
. L'épée du Send, symbole de Justice, et symbole de Münster, est exposée dans une autre salle.
Une tradition de plus de quatre siècles veut que l'épée du Send, das Sendschwert, soit accrochée sur la façade du Rathaus pendant la durée des fêtes. À l'origine, une des fonctions du Send était de rendre la justice, et l'épée servait aux exécutions. Das Sendschwert avait alors une double valeur : elle était symbole de justice et symbole de la liberté de marché (commercer, acheter, vendre, marchander : tout cela était autorisé et libre). De plus, une trêve se devait d'être respectée pendant le Send.