L'EMPIRE D'ORIENT

 

Commentaires personnels : Il apparaît  la couronne de lauriers pour les hommes devient la couronne des rayons de soleil pour les femmes. D'où, la statue d'Athéna avec la couronne de lauriers en rayons de soleil, et également la statue de la liberté à New York. York, ville où mourut le père de Constantin 1er.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Constantin_Ier_(empereur_romain)

Solidus de Constantin, Ticinum (actuelle Pavie), 313, Cabinet des médailles (Beistegui 233)

Constantin institue une nouvelle monnaie d'or, le solidus

L'empereur païen converti

La victoire du Pont Milvius et la promulgation de l'édit de Milan (313)

La tradition chrétienne (selon Lactance dans De la mort des persécuteurs et Eusèbe de Césarée dans sa Vie de Constantin) font état d'une apparition de la Croix dans le ciel vue par lui même et son armée, ainsi que d'un songe prémonitoire qui aurait annoncé à Constantin sa victoire contre Maxence au pont Milvius. La nuit même, Jésus lui serait apparu en rêve et lui aurait montré un chrisme flamboyant dans le ciel en lui disant : « Par ce signe, tu vaincras » (In hoc signo vinces). Constantin fit alors apposer le Labarum sur les boucliers de ses légionnaires, il s'agit du chrisme, formé des deux lettres grecques Khi (Χ) et Rho (Ρ), les initiales du mot Christ. Ce signe est depuis un emblème de la Chrétienté combattante, notamment dans l'Empire d'Orient.

 En reconstituant le ciel étoilé à la date de la bataille, le 28 octobre 312, on constate un alignement rare des principales planètes et de la lune. Ce groupement d'astre a été interprété par Constantin (voir image)

En 313, Constantin rencontre Licinius à Milan et conclut avec lui un accord de partage de l'Empire.

La christianisation de l'Empire

Les chrétiens ne constituent alors qu'une faible minorité des sujets de Constantin[8], répartis très inégalement à travers l'Empire, essentiellement en Orient et en Afrique du Nord. Constantin est un empereur païen, un monothéiste qui honore Sol Invictus mais qui s'intéresse depuis longtemps au christianisme puisqu'il finira par adopter comme religion personnelle en 312.

La progressive conversion de Constantin au christianisme s'accompagne d'une politique impériale favorable aux chrétiens mais le paganisme n'est jamais persécuté. Plusieurs indices témoignent de cette évolution : Constantin abandonne progressivement le

monnayage au type de Soleil et fait fréquemment représenter sur ses monnaies

des symboles chrétiens. Il reconnaît les tribunaux épiscopaux et fait du dimanche un jour férié

obligatoire en 321,

à l'exception des travaux des champs. L'Empereur accorde également des dons en argent et en terrains à l'Église, soutenant la construction de grandes basiliques.

 Apocalypse de Saint Jean 9:7

Par leur aspect les sauterelles ressemblaient à des chevaux équipés pour le combat; elles avaient sur la tête comme des couronnes qui semblaient d'or; leurs visages étaient comme des visages humains; elles avaient une chevelure comme celle des femmes; leurs dents étaient comme les dents du lion; elles avaient un thorax comme une cuirasse de fer, et le bruit fait par leurs ailes était comme le bruit fait par des chars à plusieurs chevaux qui courent au combat. Elles ont aussi une queue et un dard comme ceux des scorpions, et c'est dans eur queue que se trouve leur pouvoir de causer du dommage aux hommes pendant cinq mois. ELLES ONT POUR ROI L'ANGE DE L'ABIME, QUI S'APPELLE EN HEBREU ABADDON ET EN GREC APPOLYON.

16: 2

Le premier s'en alla verser sa coupe sur la terre. Et un ulcère mauvais et pernicieux frappa les hommes qui avaient la marque de la Bête et qui adoraient sa statue.

16:10 Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la Bête, dont le royaume fut plongé dans les ténèbres. (Les hommes) se mordaient la langue de douleur. Ils blasphémèrent Yahweh du ciel à cause de leurs douleurs et à cause de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs oeuvres.

Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve de l'Euphrate, dont les eaux tarirent pour LIVRER PASSAGE AUX ROIS, A CEUX DE L'ORIENT.

Je vis de la gueule du Dragon, de la gueule de la Bête et de la bouche du Faux Prophète, trois esprits impurs semblables à des grenouilles. CE SONT DES ESPRITS DE DEMONS QUI OPERENT DES PRODIGES ET S'EN VONT TROUVER LES ROIS DE L'UNIVERS ENTIER, AFIN DE LES MENER ENSEMBLE AU COMBAT, AU GRAND JOUR DE YAHWEH TOUT-PUISSANT.

VOICI QUE JE VIENS COMME UN VOLEUR. HEUREUX QUI VEILLE ET QUI GARDE SES VETEMENTS POUR N'AVOIR PAS A ALLER NU ET POUR NE PAS LAISSER VOIR SA NUDITE!

Ils les rassemblèrent au lieu appelé en hébreu Harmagédon.

Le septième ange versa sa coupe dans les airs, et il sortit du temple une grande voix qui venait du Trône et disait : "C'est fait" ! Il y eut des éclairs, des voix, des coups de tonnerre; puis ce fut un grand tremblement de terre, tel qu'il n'y en a jamais eu depuis que l'homme est sur la terre, tant ce tremblement de terre fut grand. LA GRANDE CITE SE COUPA EN TROIS MORCEAUX, et LES CITES DES PAÏENS S'ABATTIRENT. Yahweh se souvint de Babylone la grande pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère. Toutes les îles s'enfuirent, et l'on ne retrouva plus de montagnes. Des grêlons aussi gros que des talents tombèrent du ciel sur les hommes, et les hommes blasphémèrent Yahweh à cause du fléau de la grêle, car c'est un très grand fléau.

L'un des sept anges qui avaient les sept coupes vint me parler : "Viens, dit-il, que je te montre le jugement de la grande Courtisane assise au bord des grandes eaux, avec laquelle se sont souillés les rois de la terre et se sont enivrés les habitants de la terre en buvant du vin de son impudicité". Et il me transporta en esprit dans un désert.

Je vis une femme montée sur une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, qui avait sept têtes et dix cornes. La femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et rutilante d'or, de pierres précieuses et de perles.

Elle avait à la main une coupe d'or peine d'abominations ainsi que les souillures de son impudicité. Sur son front était inscrit un nom : un mystère ! "Babylone la grande, la mère des débauchés et des abominations de la terre". Et je vis cette femme s'enivrer du sang des saints et du sang des martyrs de Yeshouah. A ce spectacle, je fus pris d'un grand étonnement.

L'ange me dit : "Pourquoi t'étonner? Moi, je vais t'expliquer le mystère de la femme et de la Bête qui la porte, aux sept têtes et aux dix cornes. La Bête que tu as vue était, mais elle n'est plus; elle va remonter de l'Abîme pour aller à sa perte. Et ceux des habitants de la terre, dont le nom ne figure pas depuis la fondation du monde sur le Livre de vie, seront dans l'étonnement en voyant la Bête : elle était, elle n'est plus, elle reparaît. C'est ici une intelligence douée de sagesse. - Les sept têtes sont sept monts sur lesquels la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : il en est tombé cinq, l'un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il ne doit pas durer longtemps. Quant à la Bête qui était et qui n'est plus, c'est elle le huitième, qui est aussi des sept et s'en va à sa perte.

Les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront l'autorité royale, pour une heure seulement, avec la Bête. Ceux-là n'ont qu'un seul dessein : METTRE LEUR FORCE ET LEUR AUTORITE AU SERVICE DE LA BETE.

ILS FERONT LA GUERRE A L'AGNEAU, MAIS L'AGNEAU LES VAINCRA, PARCE QU'IL EST LE SEIGNEUR DES SEIGNEURS ET LE ROI DES ROIS; (VAINCRONT) AUSSI CEUX QUI SONT AVEC LUI, LES APPELES, LES ELUS, LES FIDELES".

19: 9

Et (l'ange) de me dire : Heureux les invités au festin des noces de l'Agneau"! Et d'ajouter : "Ce sont là paroles véridiques de Yahweh". Je tombai à ses pieds pour l'adorer. Mais il me dit : "GARDE-TOI DE LE FAIRE! Je SUIS UN SERVITEUR, COMME TOI ET TES FRERES QUI DETIENNENT LE TEMOIGNAGE DE YESHOUAH.  A YAHWEH TON ADORATION"!

Le témoignage de Yeshouah, c'est l'esprit de la prophétie.

Puis je vis le ciel ouvert et parut un cheval blanc. Celui qui le monte s'appelle Fidèle et Véridique : il juge et il combat avec justice. Ses yeux sont une flamme ardente, il a plusieurs diadèmes sur la tête et il porte, inscrit, un nom qu'il est seul à connaître; il est revêtu d'un manteau teint de sang; son nom se dit : "Le VERBE DE YAHWEH". Les ARMEES CELESTES LE SUIVAIENT SUR DES CHEVAUX BLANCS, VÊTUES D'UN LIN FIN D'UNE BLANCHEUR ECLATANTE. DE SA BOUCHE SORT UN GLAIVE AIGU POUR EN FRAPPER LES NATIONS: C'EST LUI QUI LES GOUVERNERA AVEC UNE HOULETTE DE FER,et c'est lui qui foule la cuve du vin de l'ardente colère de Yahweh Tout-Puissant. Sur son manteau et sur sa cuisse il porte, inscrit, ce nom : "Roi des rois et Seigneur des seigneurs".

 19:19 Et je vis la Bête et les rois de la terre, avec leurs armées rassemblées pour livrer bataille à celui qui montait le cheval et à son armée. La Bête fut prise et, avec elle, le Faux Prophète, qui par LES PRODIGES FAITS DEVANT ELLE AVAIT SEDUIT CEUX QUI AVAIENT RECU LA MARQUE DE LA BËTE ET CEUX QUI ADORAIENT SA STAUTE. TOUS LES DEUX FURENT JETES VIVANTS DANS L'ETANG DE FEU OU BRULE LE SOUFRE. LE RESTE FUT MIS A MORT PAR LE GLAIVE DE CELUI QUI MONTAIT LE CHAVAL, - LE GLAIVE QUI SORTAIT DE SA BOUCHE, - ET TOUS LES OISEAUX SE RASSASIERENT DE LEURS CHAIRS.

 

 http://el.wikipedia.org/wiki/%CE%91%CF%80%CF%8C%CE%BB%CE%BB%CF%89%CE%BD

Plantes sacrées d'Apollon le laurier, le tournesol,

Η δάφνη (επιστ.: Δάφνη η ευγενής, Laurus nobilis Bay leaf pair443.jpg

Ο Ηλίανθος (Helianthus) είναι γένος Αγγειόσπερμων Δικότυλων φυτών που ανήκει στην οικογένεια των Σύνθετων (Compositae) της τάξης των Αστερωδών (Asterales).

 Ιερά φυτά του η δάφνη, ο ηλίανθος, η άρκευθος, η μυρίκη, το ηλιοτρόπιο και ο υάκινθος.

 

 

Άγαλμα του Απόλλωνα σε κάποιο πάρκο στην Ευρώπη

 

Statue d'Apollon dans un parc d'Europe

  

Logo duhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Apollon_Smyrnis

L’Apóllon Smýrnis (en grec : Γ.Σ. Απόλλων Σμύρνης), connu aussi comme l’Apóllon Athènes (Απόλλων Αθηνών)

http://fr.wikipedia.org/wiki/York

Sa fin

Après plusieurs victoires contre les Pictes, Constance se rendit à Eburacum (York) en compagnie de son fils Constantin, quand il mourut, de mort naturelle, le 25 juillet 306.

La ville d'York se trouve au nord de l'Angleterre, à la confluence de deux rivières : l'Ouse et la Foss. York joua un grand rôle historique dès l'Antiquité et donna son nom au comté de Yorkshire, qui l'entoure. York dépendait jadis du comté de Yorkshire, mais forme depuis 1996 une autorité unitaire.

Le nom antique de York est noté Eborakon chez Ptolémée et Eburacum dans l'Itinéraire d'Antonin. Il correspond à un archétype celtique répandu sur le continent : Évry, Ivry, Ivrey, Yvrac qui remontent tous à des formes analogues Ebriacum, Ebriaco dont certains peuvent être composés avec le nom d'homme Eburius[1]...Eburacum est un composé de eburo- sanglier ou if (voir Éburons)[2] et du suffixe répandu aussi bien en Gaule qu'en Grande-Bretagne -ako (-acum, -og en brittonnique) servant à localiser. La ville de York fut fondée en 71 ap. J.-C., et possède une riche histoire romaine et viking.

D'abord capitale de la province romaine de Britannia Inferior (l'Empereur romain Septime Sévère mourut à York en 211 de l'ère chrétienne), elle devint plus tard siège d'un archevêché qui couvrait le Nord de l'Angleterre sous le nom anglo-saxon d'Eoforwic (mentionné en 644). De 866 à 954, York fut la capitale du Royaume de Jorvik.

 Quand les Juifs de la tour de Clifford virent qu'ils n'avaient aucune alternative que de se soumettre au baptême ou périr aux mains de la foule, Yom-Tob ben Isaac de Joigny, tossafiste français et nouveau chef de la communauté, les a exhortés à se tuer eux-mêmes plutôt que de succomber à la cruauté de leurs ennemis. Ceux en désaccord étaient autorisés à se retirer. Les autres se donnèrent la mort, après avoir mis le feu à leurs vêtements et marchandises pour ne pas tomber dans les mains de la foule. Joce égorgea son épouse, Hannah, avec le couteau d’abattage rituel et ainsi de suite. Le dernier survivant de 150 personnes, Yom-Tob, se poignarda et prit sur lui l’interdit de suicide.

Le joyau en est la cathédrale, aussi appelée York Minster.

 

La cathédrale d’York (aussi appelée en anglais York Minster) est située dans la ville d’York dans le nord de l'Angleterre. C'est le plus grand édifice gothique d'Europe du Nord, le siège de l’archevêque d’York, second dans la hiérarchie de l’Église anglicane, et la cathédrale du diocèse d’York. Elle est gouvernée par un doyen et un chapitre. Son appellation formelle est : « cathédrale et église métropolitaine de Saint-Pierre à York ».

Elle est l'une des principales attractions de la ville d'York, dans le comté du Yorkshire. La cathédrale est entourée du Collège St-William, de la maison du Trésorier et de Dean's Park.

 

Cathédrale d’York
Image illustrative de l'article Cathédrale d'York
Cathédrale d'York

 

 

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