http://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_minoenne
L'exemplaire le plus important d'inscription hiéroglyphique crétoise
est le disque de Phaistos,
La plupart des fresques qui nous sont parvenues proviennent de Knossos ou de Théra.
Quelques unes proviennent d'Haghia Triada, Tylissos ou Amnissos.
Très peu de fragments nous sont parvenus de Phaistos ou Malia.
L'usage des sceaux en Crète provient probablement de Babylone ou d'Égypte.
Dans la mythologie grecque, Pasiphaé (en grec ancien Πασιφάη / Pasipháê, « celle qui brille pour tous »,
une épithète classique de la déesse Lune),
fille d'Hélios et de Persé (ou de Crété selon Diodore), est l'épouse de Minos (roi de Crète).
Elle est surtout connue pour être la mère du Minotaure.
Diodore de Sicile (en grec ancien Διόδωρος / Diódôros) est un historien et chroniqueur grec du Ier siècle av. J.‑C.
né à Agyrium en Sicile au début de ce siècle.
Il est l'auteur de la Bibliothèque historique.
Diodore de Sicile vécut du temps de Jules César et d'Auguste.
Après avoir visité les contrées d'Europe et d'Asie ainsi que l'Égypte, il s'établit à Rome.
Il laissa une œuvre considérable, l'une des plus riches d'informations sur l'Égypte antique, la Grèce antique et la Rome antique.
Il travailla pendant 30 ans à la Bibliothèque historique, qui couvre plus de mille ans d'histoire,
des temps mythologiques à Jules César.
Son œuvre, rédigée en grec, comprend 40 livres dont 15 subsistent aujourd'hui ;
elle est la première à aborder une histoire universelle.
On attribue parfois à Diodore de Sicile la liste des sept merveilles du monde, étant donnée sa description détaillée des jardins suspendus de Babylone au livre II de la Bibliothèque historique.
Moctezuma (1466 - Juin 1520), dont le nom s’écrit également selon certaines variantes orthographiques, Montezuma, Moteuczoma , Motecuhzoma et qui figure dans les premiers textes en Nahuatl sous son nom complet Motecuhzoma Xocoyotzin[1] comportant diverses variantes, était le neuvième Tlatoani ou roi de Tenochtitlan qui régna de 1502 à 1520.
C’est pendant le règne de Moctezuma qu’a commencé la conquête espagnole de l'empire aztèque.
La représentation de Moctezuma dans l'histoire a surtout été influencée par son rôle de roi d'une nation vaincue,
et de nombreuses sources le décrivent comme velléitaire et indécis.
Le parti pris de certaines sources historiques fait qu’il est difficile de comprendre sa conduite lors de l'invasion espagnole[2].
Pendant son règne, l'empire aztèque a atteint son apogée.
Grâce à la guerre, Moctezuma II a agrandi son territoire vers le sud jusqu’à Soconusco au Chiapas et l’Isthme de Tehuantepec,
et englobé sous son hégémonie la civilisation Zapotèques et le peuple Yopi [3].
Il a changé l'ancien système de hiérarchie sociale méritocratique
et creusé le fossé entre les pipiltin (nobles) et les macehualtin (roturiers)
en interdisant à ces derniers de travailler dans les palais royaux [3].
La célèbre pierre de Tizoc, un Cuauhxicalli (pierre sacrificielle) décoré de sculptures représentant Tizoc,
le prédécesseur de Moctezuma en tant que tlatoani, aurait également été réalisé au cours de son règne[4]..
Il a eu huit filles, dont Tecuichpo, également connue sous le nom de Doña Isabel de Moctezuma
et onze fils, parmi lesquels Chimalpopoca (à ne pas confondre avec Chimalpopoca, un huey tlatoani précédent)
et Tlaltecatzin[5].
Moctezuma II Motecuhzoma Xocoyotl |
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Moctezuma II illustration du Codex Mendoza
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Nom
La prononciation de son nom en langue nahuatl est [motekʷˈsoːma].
C’est un mot composé qui associe un terme signifiant seigneur et puissant à tout jamais
et un verbe signifiant froncer les sourcils de colère,
et est interprété comme il est celui qui fronce les sourcils comme un seigneur[6] or he who is angry in a noble manner.[7]
Le glyphe de son nom, dans le coin supérieur gauche de l'illustration tirée du codex Mendoza ci-dessus,
était composé d'un diadème (xiuhuitzolli) posé sur des cheveux raides
avec un ornement d’oreille associé à une pièce nasale séparée
et une « bulle » contenant la transcription de ses paroles[8].
Bernal Díaz del Castillo
Le récit de première main de Bernal Díaz del Castillo,
Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne
dresse le portrait d'un noble roi qui lutte pour maintenir l'ordre dans son royaume après qu’il eut été fait prisonnier par Cortés.
Dans sa première description de Moctezuma, Díaz del Castillo écrit :
Bernardino de Sahagún
Le codex de Florence, rédigé par Bernardino de Sahagún et ses collaborateurs indigènes de Tenochtitlan – et de Tlatelolco,
sa ville vassale présentaient généralement Tlatelolco et les dirigeants Tlatelolcans sous un jour favorable
par rapport à ceux de Tenochtitlan, et Moctezuma, en particulier y est critiqué,
comme étant un souverain velléitaire, superstitieux, et laxiste[12].
Fernando Alvarado Tezozómoc
Fernando Alvarado Tezozómoc qui a écrit la Crónica Mexicayotl, était un petit-fils de Moctezuma II
et sa chronique concerne essentiellement la généalogie des souverains aztèques.
Il décrit la descendance de Moctezuma et révèle que Moctezuma avait dix-neuf enfants - onze fils et huit filles[19].
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