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Noachi Arci Loup Troupeau CONSTELLATION

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/00/Cellarius_southern_scenographic.jpg

 

 

 

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Constellation

Les terrains du Noachien sont situés essentiellement dans l'hémisphère sud, souvent à une altitude de quelques kilomètres par rapport au rayon moyen de la planète, comme c'est le cas pour Terra Sabaea, Tyrrhena Terra, Promethei Terra, Terra Cimmeria, Terra Sirenum, Aonia Terra et, enfin, Noachis Terra, qui a donné son nom à l'éon ; ceux qui sont situés dans les régions équatoriales ou qui débordent dans l'hémisphère nord ont une altitude plus modéré et localement nulle, comme c'est le cas pour Tempe Terra, Xanthe Terra, Margaritifer Terra et surtout Arabia Terra.

cratères amazoniens

C'est notamment le cas d'Hellas Planitia et d'Argyre Planitia, toutefois largement altérés à l'Hespérien, ainsi que du socle de Mare Australe,

C'est notamment le cas d'Hellas Planitia et d'Argyre Planitia, toutefois largement altérés à l'Hespérien, ainsi que du socle de Mare Australe,

comme Isidis Planitia, ou les deux dépressions localisées au sein de Vastitas Borealis identifiant Utopia Planitia et le Bassin boréal.

Volcanisme

Le Noachien ne semble pas avoir été dominé par le volcanisme et la plupart des volcans martiens sont a priori postérieurs à cet éon. Quelques structures volcaniques font cependant exception, notamment Alba Mons au nord-ouest du renflement de Tharsis, dont la principale phase d'activité se situerait plutôt dans la seconde moitié de l'Hespérien jusqu'au début de l'Amazonien mais qui pourrait être apparu, compte tenu de sa taille et de la nature singulièrement fluide de ses laves, dès la fin du Noachien ; le fait qu'il se trouve exactement aux antipodes du bassin d'impact d'Hellas Planitia indique peut-être un lien entre ces deux structures. La même remarque s'applique également au possible point chaud à l'origine d'Hecates Tholus et d'Elysium Mons, proche des antipodes d'Argyre Planitia, et à Tyrrhena Patera dans Hesperia Planum, voisine des antipodes de Chryse Planitia : si les terrains de ces régions sont géologiquement postérieurs au Noachien, leur apparition remonte vraisemblablement à cet éon.

La discontinuité entre Phyllosien et Theiikien matérialiserait une transition catastrophique entre ces deux éons soulignée par le concept de « grand bombardement tardif »

Hespérien

Géographie et morphologie

Les terrains hespériens se situent principalement dans les régions volcaniques à l'interface entre les hautes terres noachiennes de l'hémisphère sud et les basses plaines amazoniennnes de l'hémisphère nord, ainsi qu'au fond des bassins d'Hellas et d'Argyre.

La principale région volcanique martienne est le renflement de Tharsis et, au sud et à l'est de celui-ci, la région de hauts plateaux de Daedalia, Syria, Icaria, Solis, Bosporos, Haumasia et Sinai ; ce haut plateau est profondément entaillé par le système de canyons de Valles Marineris, au nord duquel il se prolonge par des plaines volcaniques plus basses (et plus anciennes), Lunae et Ophir.

La principale région volcanique martienne est le renflement de Tharsis et, au sud et à l'est de celui-ci, la région de hauts plateaux de Daedalia, Syria, Icaria, Solis, Bosporos, Haumasia et Sinai ; ce haut plateau est profondément entaillé par le système de canyons de Valles Marineris, au nord duquel il se prolonge par des plaines volcaniques plus basses (et plus anciennes), Lunae et Ophir.

Plus à l'ouest, au-delà d'Amazonis Planitia, s'étend Elysium Planitia, deuxième plus importante formation volcanique de la planète, au nord de Terra Cimmeria. Au sud-ouest de cette région, en direction d'Hellas Planitia, se trouve Hesperia Planum, qui a donné son nom à l'éon, et, au-delà d'Hellas, Malea Planum, qui s'étire jusqu'à Sisyphi Planum. Enfin, à l'ouest d'Isidis Planitia se trouve Syrtis Major Planum.

Comme sur Terre, les volcans martiens se répartissent en deux grandes catégories : effusifs et explosifs. Les premiers sont de nature basaltique et forment les volcans boucliers gigantesques qui sont une caractéristique de la planète : Alba Mons et Olympus Mons, sur le renflement de Tharsis, comptent ainsi parmi les plus grandes structures de ce type dans le système solaire. Les seconds sont caractérisés par des laves visqueuses à tendance explosive dont les éruptions libèrent de grandes quantités de cendres qui s'accumulent en formant un dôme appelé tholus : c'est le cas, par exemple, de Ceraunius Tholus et d'Uranius Tholus, voisins d'Uranius Patera, un volcan semble-t-il contemporain d'Alba Mons mais dont le sommet paraît avoir explosé à la suite d'une éruption plinienne, laissant une caldeira très vaste par rapport à l'édifice volcanique.

Certaines régions présentent une morphologie évoquant un volcanisme fissural, notamment Syrtis Major Planum et surtout Hesperia Planum, avec des pentes particulièrement faibles et un système de caldeiras s'étirant dans une direction privilégiée.

 Terra Sabaea est une vaste région martienne s'étendant sur 4 700 km et centrée par 2° N et 42° E, soit une région couvrant les quadrangles d'Arabia, de Syrtis Major, de Sinus Sabaeus et d'Iapygia.

 Il s'agit de hautes terres fortement cratérisées et géologiquement anciennes datant du Noachien, dont l'altitude dépasse 4 000 m dans l'hémisphère sud à proximité de Noachis Terra.

Noachis Terra est une vaste région martienne de terrains anciens et fortement cratérisés située dans l'hémisphère sud de la planète, dans les quadrangles de Sinus Sabaeus, de Noachis et de Mare Australe, à l'ouest du grand bassin d'impact d'Hellas Planitia

Noachis Terra est limité à l'ouest par Argyre Planitia, au sud par Planum Australe, à l'est par Hellas Planitia, au nord-est par Terra Sabaea, au nord par Arabia Terra et au nord-ouest par Margaritifer Terra.

Cette région, dont le nom dérive du latin « terre de Noé, » a donné son nom à l'éon du Noachien,

Il tire son nom d'Arabia Terra, une région fortement cratérisée constituée de terrains noachiens d'altitude moyenne qui s'étend principalement dans ce quadrangle, occupant le tiers nord-ouest de celui-ci, avec Meridiani Planum dans le quart sud-ouest. Les terrains les plus élevés se trouvent au sud-est, dans la région de Terra Sabaea

Arabia Terra dans les quadrangles d'Ismenius Lacus, d'Oxia Palus et d'Arabia.

 remontant au début de l'Hespérien, voire à la fin du Noachien. Deux caldeiras sont aisément identifiables, Nili Patera au nord et Meroe Patera

 d'Hesperia Planum autour de Tyrrhena Patera,

 Tyrrhena Terra

  quadrangles d'Iapygia et de Mare Tyrrhenum, et est située entre la région de Terra Sabaea à l'ouest, le volcan bouclier de Syrtis Major Planum et bassin d'impact d'Isidis Planitia au nord, le plateau d'Hesperia Planum autour du volcan Tyrrhena Patera au sud-est, et grand bassin d'Hellas Planitia

 Hellas Planitia est un bassin d'impact d'environ 2 200 km de diamètre et 9 500 m de profondeur situé dans l'hémisphère sud de la planète Mars et centré par 42,7° S et 70,0° E dans les quadrangles d'Iapygia, de Noachis et d'Hellas. Il s'agit de la plus grande structure d'impact encore visible sur la planète, les suivantes par taille décroissante étant Argyre Planitia et Isidis Planitia. Sa formation serait contemporaine de celle de ces deux autres structures, et remonterait à la fin du Noachien, peut-être en relation avec l'hypothétique « grand bombardement tardif

 

. Ce fut l'une des premières formations identifiées à la surface de la planète rouge, nommée dès 1867 « Terre de Lockyer » par l'astronome anglais Richard Proctor qui l'observa à l'aide d'une lunette de 16 cm, avant que Giovanni Schiaparelli ne la baptise « Terre de Grèce » à l'issue de ses observations lors de l'opposition de 1877, d'où le nom Hellas — Ἑλλάς en grec ancien.

L'ancien et très gros volcan bouclier d'Alba Patera se situe exactement aux antipodes d'Hellas Planitia, ce qui suggère une possible relation entre ces deux structures d'âge voisin.

 chaîne montagneuse, Hellespontus Montes, à la fois étendue (730 km) et relativement érodée, atteignant très localement 2 000 m d'altitude, mais présentant toutefois un dénivelé significatif sur son versant oriental, qui fait face à la dépression la plus creuse de la région, en contrebas d'Hellas Chaos et d'Alpheus Colles

  Mad Vallis (524 km) au nord-est de Malea Planum, dans le sud du bassin, ou encore Reull Vallis (945 km), qui naît vers 2 500 m d'altitude dans Promethei Terra (sa source semble recouverte par le front méridional d'Hesperia Planum au sud de Tyrrhena Mons) et s'interrompt aux pieds des Centauri Montes, où commencent des terrains hespériens plus récents liés à l'activité volcanique d'Hadriacus Mons

 les caldeiras quasiment alignées de Pityusa, Malea, Peneus et Amphitrites qui traversent Malea Planum

  d'Hesperia Planum : ce sont Hadriaca Patera et Tyrrhena Patera, de formation plus récente — ces terrains sont typiques de l'Hespérien — comme le révèlent leurs pentes moins cratérisées que celles des volcans de Malea Planum. Par ailleurs, Tyrrhena Patera est proche des antipodes du bassin de Chryse Planitia

 d'Hadriacus Mons : ce sont d'une part Dao Vallis (816 km) qui s'écoule depuis une longue et vaste cavité manifestement laissée par le drainage d'un énorme éboulement, et d'autre part Niger Vallis (333 km) issue pour sa part d'Ausonia Cavus et d'un système diffus de cavités souterraines dont certaines semblent partiellement éboulées. Plus au sud, Harmakhis Vallis (475 km) sort également d'une cavité d'effondrement située entre Hellas Montes et Centauri Montes. Une vallée plus courte, Teviot Vallis (140 km), qui se jette dans Reull Vallis, semble être de même nature. Ces formations sont postérieures à celle des volcans, mais antérieures à la fin de l'Hespérien — avec peut-être encore une certaine activité au début de l'Amazonien.

 d'Alpheus Colles et d'Hellas Chaos,  Coronae Scopulus

 Rigel (β Orionis)

Gravure de Johann Bayer Uranometria (1661).
 
 

 la nébuleuse de la Tête de Cheval, près d'Alnitak

Alnitak (ζ Ori)

Objets célestes

Julius Schiller, Coelum Stellatum Christianum, 1627

 Le Loup est le nom donné à une petite constellation de l'hémisphère Sud, située en dessous de la constellation de la Balance, à l'ouest de la constellation du Scorpion et à l'est de la constellation du Centaure.

 

Histoire

Le Loup est une vieille constellation. Pour les Grecs, il s'agissait d'un animal que le Centaure portait empalé sur sa lance. Elle faisait partie des constellations répertoriées par Ptolémée dans son Almageste.

 Selon les témoignages, pendant quelques jours, la brillance de la nouvelle étoile augmenta, devenant supérieure à celle de Vénus, et atteignant un éclat comparable « au quart de la pleine lune », donc visible en plein jour. Puis l'éclat se mit à diminuer, mais l'étoile resta observable pendant plus de deux ans. Une multitude de textes de toutes origines (chinoise, japonaise, coréenne, arabe) et crédibles relatent l'apparition et l'observation de cette étoile nouvelle en l'an 1006. Or, curieusement, elle est n'est attestée en Europe qu'en 1066, une date qui coïncide avec l'année de la conquête de l'Angleterre par Guillaume de Normandie;

Le Loup est situé dans la voie lactée, entre le Scorpion et le Centaure.

Il n'a pas de forme très évidente, et la limite entre le Loup et le Centaure est difficile à faire.

α Lupi est une céphéide

Beta Cephei (β Cep / β Cephei) est une étoile de la constellation de Céphée. Elle porte également le nom traditionnel Alfirk (arabe الفرقة al-firqah), qui signifie "Le troupeau" (référant à un troupeau de moutons).

Ces étoiles ne doivent pas être confondues avec les variables céphéides, qui sont nommées d'après Delta Cephei.

 

Histoire

La Lyre est une constellation ancienne. Les civilisations antiques en Moyen-Orient et en Inde y voyaient un vautour. Les astronomes grecs y voyaient une lyre (ou plutôt une « kithara ») et les cartes du ciel les plus vieilles la représentent généralement tenue dans les griffes d'un vautour. Lyre était l’une des 48 constellations identifiées par Ptolémée.

Sous la forme d'un vautour, cette constellation s'est raccrochée à la légende d'Hercule qui, pour son 6e travail, tua les oiseaux du lac Stymphale. La constellation est d'ailleurs proche du Cygne et de l'Aigle.

La lyre représenterait pour sa part l'instrument de musique d'Orphée.

 

Oiseaux du lac Stymphale

Héraclès et les oiseaux du lac Stymphale, détail de la mosaïque des douze travaux de Liria (Espagne), première moitié du IIIe siècle.

Dans la mythologie grecque, les oiseaux du lac Stymphale (en grec ancien Στυμφαλίδες όρνιθες / Stumphalídes órnithes) dressés par Arès, étaient des oiseaux carnassiers, se nourrissant de chair humaine[1]. Ils infestaient les bois près du lac Stymphale, en Arcadie. Ils tuaient leurs proies grâce à la pointe acérée de leurs plumes, qu'ils utilisaient comme des flèches. D'autres légendes racontent qu'ils étaient simplement munis de griffes et d'un bec d'airain.

Afin de réaliser l'un de ses douze travaux, Héraclès les effraya au moyen d'un gong de bronze, œuvre d'Héphaïstos, en tua un certain nombre, puis chassa le reste. Une autre légende raconte qu'Héraclès commença d'abord par les tuer à l'aide de ses flèches, mais ils étaient tellement nombreux et se reproduisaient si vite, qu'à la fin de la journée Héraclès n'avait plus de flèches et que les oiseaux étaient plus nombreux que dans la matinée. Héraclès, dans un mouvement de rage, frappa alors son épée contre son bouclier, ce qui fit fuir les oiseaux. Il continua jusqu'à ce que tous les oiseaux tombent dans le lac et se noient.

 

Stymphale

Monastère cistercien près du lac Stymphale, datant de 1225 à 1280. A gauche, le Mont Ziria (2374 m).

Stymphale était une ville antique d'Arcadie, ayant donné son nom à un village et un dème modernes, dépendant actuellement de la préfecture de Corinthie, en Grèce.

Dans l'Antiquité elle était connue pour les oiseaux carnivores des rives de son lac, dont la chasse fut l'un des douze travaux d'Hercule.

Le mont Cyllène (du grec ancien Κυλλήνη / Kyllếnê) ou mont Ziria (Ζήρια) est l'une des hautes montagnes du Péloponnèse (2 374 m), en Corinthie.

C'est là que Maïa donna naissance à Hermès. Il avait à son sommet un temple dédié à Hermès. L'adjectif « cyllénien » est l'une des épithètes du dieu, et les poètes grecs et romains appellent souvent la lyre « cyllénienne », pour rappeler qu'elle est son invention.

 

Suite !!

 

 

 

 

 

 

 

 

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