Chine

 Ziwei, également appelé Zigong ou Ziwei gong (litt. « Palais pourpre interdit ») est un des astérismes de plus grande étendue utilisé en astronomie chinoise. Il couvre une région voisine du pôle nord céleste, empiétant sur les constellations de la Grande Ourse, de la Girafe, et du Dragon.

 

Qilin couché au temple de Shaolin

 

Statue d'un Qilin
Article connexe : Licorne.

Zheng He

Statue de Zheng He.
Idéogrammes pour Zheng He.

Zheng He (13711433) (鄭和, 郑和, pinyin : Zhèng Hé, EFEO : Tch'eng Ho, Wade-Giles : Cheng Ho, arabe : حجّي محمود [Hajji Mahmud]) était un eunuque chinois musulman et un explorateur maritime célèbre. Il fut un des rares à se faire attribuer le titre bouddhique de Sanbao taijian (三寳太監), « Grand Eunuque aux trois joyaux »[1].

Un Fenghuang sur le toit du temple de Longshan à Taipei

Le fenghuang (鳳凰 / 凤凰 pinyin : fènghuáng) ou phénix chinois est un oiseau mythique

 Di (chinois : 氐宿, pinyin : dǐ xiù) est une loge lunaire de l'astronomie chinoise. Son étoile référente (c'est-à-dire celle qui délimite la frontière occidentale de la loge) est α2 Librae (Zuben Elgenubi). La loge occupe une largeur approximative de 15 degrés. L'astérisme associé à la loge contient, outre cette étoile, trois autres étoiles. En astrologie chinoise, cette loge est associée au groupe du dragon vert de l'est.

Zuixi (chinois : 觜宿, pinyin : zī xiù) est une loge lunaire de l'astronomie chinoise. Son étoile référente (c'est-à-dire celle qui délimite la frontière occidentale de la loge) est φ1 Orionis. La loge occupe une largeur approximative de 1 degré. L'astérisme associé à la loge contient, outre cette étoile, deux autres étoiles. En astrologie chinoise, cette loge est associée au groupe du tigre blanc de l'ouest.

Tigre blanc (tuile d'avant-toit)

Zhaoyao représente, dans l'interprétation symbolique du ciel chinois, une arme de nature incertaine, probablement une épée ou un épieu. Cette arme fait partie d'un groupe de trois ou quatre armes à proximité immédiate de Dajiao (α Bootis), le roi céleste. Elles sont là pour le protéger.

Zhīnǚ (织女, pinyin : zhīnǚ) est un personnage de la mythologie chinoise et un astérisme de l'astronomie chinoise. Il est décrit dans le traité Shi Shi qui liste les astérismes les plus brillants de l'astronomie chinoise. Il se compose de trois étoiles, situées dans la constellation occidentale de la Lyre.

Zhenwudadi (真武大帝) « Empereur Zhenwu » ou Xuanwushangdi (玄武上帝) « Empereur Xuanwu » est un dieu taoïste stellaire qui gouverne le ciel septentrional. Il a également une fonction militaire et est assimilé à l'Empereur du Nord Bei Di.

Son nom d'origine, Xuanwu, est celui de l'ensemble des sept maisons astrales du nord dans le zodiaque chinois. C’est une combinaison de deux caractères : xuan (sombre) évoque le ciel ; wu, « militaire », vient du fait qu'on distingue dans les astérismes xuanwu la forme d’une tortue fantastique dont la carapace évoque une armure. Cette connotation n’est pas étrangère à la faveur que lui a accordée l’empereur Yongle des Ming qui l'appréciait comme dieu guerrier. Le caractère xuan fut par la suite changé pour ne pas enfreindre le tabou portant sur le nom de l’alchimiste divinisé Zhao Xuanlang (趙玄郎). On choisit pour le remplacer le caractère zhen, "véritable".

La coutume voulait que les empereurs donnent un titre à leurs divinités de prédilection. Zhenwu reçut son titre d'empereur (dadi, « grand empereur ») en 1303 sous les dynastie Yuan.

 

Faveur impériale
L’Empereur Zhenwu avec deux acolytes

L'empereur Yongle des Ming accorda sa faveur à Zhenwudadi. La divinité stellaire Wenchangdijun, dont le premier caractère peut se lire « littérature », avait été promu patron des lettrés et des examens impériaux par les empereurs Tang et Song. L'administration impériale étant composée de deux catégories de fonctionnaires, civils et militaires, il était naturel qu'une autre divinité taoïste dont le nom comportait le caractère wu, « militaire », soit introduite au palais. Yongle ordonna que des oratoires consacrés à Zhenwudadi soient installés dans les administrations. En 1412, il décida la construction de temples sur le mont Wudang, siège de l'école taoïste Quanzhen du Sud depuis la dynastie Yuan. Plus de 200 000 soldats furent affectés à ce chantier sous la direction de Zhang Xin (張信), marquis de Longping (隆平).

Légende

Comme beaucoup de divinités, sa naissance fut miraculeuse. Présenté comme le 82e avatar de Laozi, il serait né dans la famille royale du pays Sans désir ; sa mère le conçut dans un rêve où elle avalait le soleil, et le mit au monde à l'issue d'une grossesse exceptionnellement longue. Il abandonna son droit au trône pour se consacrer à l'ascèse sur le mont Wudang et devint immortel. L'Empereur de jade lui donna sa charge divine de gouverneur du ciel septentrional.

Culte

Les sept maisons astrales de Xuanwu comprennent le chariot de la Grande Ourse, appelé beidou (北斗) et l'astérisme nandou. Les astérismes dou ont une place particulière dans l'astrologie chinoise ancienne. On en distingue quatre, correspondant aux quatre orients, mais les deux réellement importants sont celui du sud, nandou (南斗) , situé dans le sagittaire, qui gouverne les naissances, et celui du nord, beidou, qui gouverne les décès. On prie Zhenwudadi, gouverneur du ciel septentrional et du chariot de la Grande Ourse, pour demander la longévité.

Le Nord est associé à l’eau ; le dieu est donc sollicité en cas d’inondation, mais aussi d’incendie. Sous les Ming, un temple de Zhenwudadi existait dans le palais impérial afin d’y solliciter la protection contre ces calamités.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dynastie_Han

Sous Mingdi et Zhangdi, le général Ban Chao étend l’influence chinoise dans le bassin du Tarim et poursuit l’ouverture de l’extrémité orientale de la route de la soie entamée par Zhang Qian

On assiste également au développement de l'économie monétaire, apparue lors de la Dynastie Zhou (1050-256 AV. J.-C.). La monnaie frappée par l'autorité impériale à partir de 119 av. J.-C. restera en usage en Chine jusqu'à la Dynastie Tang (618-907). Pour financer ses campagnes militaires et la colonisation des territoires conquis au frontières, le gouvernement nationalise la production de sel et de fer en 117 AV. J.-C. Les Han orientaux révoquent plus tard ces monopoles d'État, compensant les revenus ainsi perdus par une taxation plus élevée des entrepreneurs privés.

L’empereur Wudi donne la primauté au confucianisme comme système politique, instaurant une longue tradition reprise par la majorité des dynasties chinoises, et impose des épreuves d’accès à la fonction publique préfigurant les examens impériaux qui, mélangés aux idées cosmologiques de lettrés postérieurs tel Dong Zhongshu, auront cours du VIe siècle jusqu’en 1905. Dans ce système, l'empereur est à la tête de la société. Il préside les ministres, mais partage le pouvoir avec une classe de noblesse.

 Gaozu mort, les princes du sang manifestèrent peu de considération pour l’empereur qu’ils leur jugeaient redevable. Dès l'époque de Wendi, troisième empereur, il y eut plusieurs manifestations d’indépendance de grands féodaux, particulièrement en -177. Jingdi dut affronter en -154 la révolte des sept princes (Wu, Chu, Zhao, et quatre principautés du Shandong) dont l’instigateur était Wang Pi (王濞) de Wu. Elle fut réduite au bout de trois mois. Les principautés revinrent ainsi progressivement sous contrôle impérial.

Wudi, successeur de Jingdi, fut par sa longévité et son tempérament autoritaire - voire légèrement paranoïaque sur la fin de ses jours - l’empereur le plus puissant de la dynastie. Pour tenter de consolider les finances lourdement grevées par ses guerres extérieures, il réinstaura le monopole d’État sur le sel et le fer.

Il s’empara du pouvoir en 9 et fonda la dynastie Xin (renouveau), avec l’ambition de mettre en pratique un régime réellement confucéen tel qu’il est décrit sur les classiques d’avant l’empire, en particulier le Zhou li. Il tenta ainsi d’imposer un système où l’État, propriétaire de toute la terre, la distribuerait aux familles de paysans payant l’impôt, la superficie attribuée étant calculée selon le nombre et le sexe des membres de la famille. La majorité des activités professionnelles et le prix des denrées essentielles devaient être aussi placés sous contrôle de l’État. Cependant, sans aucune connaissance pratique ni du terrain ni des réalités économiques, impuissant à forcer effectivement les grands propriétaires à restituer leurs terres et libérer leurs serfs, il n’engendra que mécontentement et fut tué en 22 dans une révolte d’origine populaire constituée de deux armées, les « Sourcils rouges » (chìméi 赤眉) et les « Forêts vertes » (lùlín 绿林).

Gaozu avait repris la division du territoire en districts jun (郡) et comtés xian (縣) sous contrôle impérial, mais avait jugé bon pour s’attacher les fidélités de distribuer des fiefs à des princes (王) anciens alliés ou membres du clan Liu. Les districts et comtés se retrouvaient donc également sous le contrôle de ces princes qui prirent vite des libertés vis à vis du pouvoir central, allant jusqu’à promulguer leurs propres lois. Sans supprimer les principautés, récompense utile, Wudi les ramena dans le giron de l’empire en divisant l’ensemble du territoire en treize préfectures zhou (州), zones d’activités de ceshi (刺史), sortes de missi dominici directement sous ses ordres. Les préfectures seront sous les Han orientaux totalement intégrées dans les divisions administratives, qui comprendront, par ordre décroissant : préfecture, district, comté.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sun_Quan

Sun Quan (182-252) (chinois traditionnel : 孫權, simplifié : 孙权), de son prénom social Zhongmou (仲謀), était un seigneur de guerre chinois à l'époque de la fin de la dynastie Han et premier empereur de la dynastie des Wu occidentaux lors du début de la période des Trois Royaumes. Comme de nombreuses personnalités de son époque, Sun Quan fut immortalisé dans le Roman des Trois Royaumes de Luo Guanzhong.

En 200, Sun Quan hérite de la région du Jiangdong, théoriquement sous vasselage de l'empereur Xiandi de la dynastie Han, mais gardant une très grande indépendance de par sa position géographique.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sun_Jian

Sun Jian (155 ? - 192 ?) était officier sous la dynastie Han. Descendant du légendaire Sun Tzu, Sun Jian était un théoricien aux nerfs d'acier. Originaire du Jiang Dong, il fut surnommé le "Tigre Enragé du Chaos" ou "Le tigre de Jiang Dong" après avoir tué un de ces animaux à l'âge de 10 ans. Suite à son combat contre les Turbans Jaunes, il participa à la campagne organisée par He Jin et menée par Yuan Shao contre le tyran Dong Zhuo. Arrivé premier à Luoyang, en 190, il y découvrit le sceau impérial. En 191, Yuan Shu envoya Sun Jian combattre Liu Biao a Xiang Yang. Durant cette bataille, Huang Zu, un lieutenant ennemi, le piégea dans une sournoise embuscade, ou il fut gravement blessé, mourrant de ses blessures les jours suivants. Ses fils Sun Ce et Sun Quan lui succédèrent et conquérirent le Jiangdong établissant les fondations du futur Royaume de Wu.

Un naga au Vat Sisakhet de Vientiane.

Le nâga (नाग ou serpent en sanskrit) est un animal fabuleux de l'hindouisme, à corps de serpent habituellement représenté avec plusieurs têtes, souvent chimériques et effrayantes : capuchon de cobra, gueule de chien, yeux exorbités et parfois humains. En revanche, les nâgas décritent le plus souvent comme des créatures mi-homme mi-serpent (homme se terminant par une queue de serpent un peut comme chez les sirènes).

Garuda au temple hindouiste de Gunung Kawi (Bali).

Garuda (गरूड, aigle en sanskrit) est un oiseau fabuleux de la mythologie hindouiste et bouddhiste, fils de Kashyapa et de Vinatâ et frère d'Aruna, le conducteur du char de Sûrya. C'est le vâhana ou véhicule de Vishnu.

Un nâga polycéphale, créature reptilienne de l'hindouisme. Temple d'Angkor, Cambodge

Les plus anciennes traces connues remontent à 6000 ans environ, dans une tombe néolithique de Xishuipo, site archéologique de la province du Henan, en Chine : formée de coquillages, sa forme se détache nettement aux côtés du défunt. La découverte de cette tombe date des années 1980 [3]. Une autre représentation, vieille de 2500 ans, constituée de briques de couleur, fut découverte sur les murs de la porte d'Ishtar, une des monumentales portes de Babylone.

Cependant, il s'agit là d'une figure religieuse imaginaire, tout comme le sont le sphinx

Amérique

La mythologie amérindienne ne semble pas faire part de légendes concernant les dragons au sens où nous les concevons.

Dans la croyance des Aztèques le serpent bénéficiait d'un statut important de par, entre autres, sa capacité à muer.

On retrouve la racine coatl (serpent en nahuatl) dans le nom de plusieurs divinités : Cihuacóatl (femme serpent)

ou Coatlicue (la dame aux serpents) mais également Quetzalcóatl (serpent à plumes, aussi présent dans la mythologie maya par exemple,

sous le nom de Kukulkan) ou Mixcoatl (serpent de nuages) dans lesquels se remarque un caractère beaucoup plus aérien par les qualificatifs employés.

Suite !!

 

 

 

 

 

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