Dios Zeus Ammon Andromède

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_(mythologie)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_arch%C3%A9ologique_de_Sousse

Collections

Il comprend une importante collection de mosaïques romaines couvrant une période allant du IIe siècle au IVe siècle ainsi que des objets — figurines en terre cuite, stèles, ex-votos, poteries, mobilier funéraire, etc. — provenant des fouilles archéologiques opérées sur les sites antiques de la région du Sahel tunisien, principalement les anciennes cités d'Hadrumète (Sousse surtout au niveau de ses catacombes), de Thysdrus (actuelle El Jem) et Salakta.

Parmi les plus belles mosaïques du musée figurent une tête de Méduse, pièce du IIe siècle représentant cet être mythologique avec un décor d'écailles rayonnantes rappelant le pouvoir hypnotique de Méduse, le Triomphe de Bacchus, peut-être la plus belle pièce du musée, où l'on voit le dieu romain du vin sur un char entouré de la Victoire et d'une bacchante, ou encore Zeus qui enlève Ganymède sous l'apparence d'un aigle.

Le musée archéologique de Sousse est fondé en 1951 et occupe une partie de l'ancienne kasbah de Sousse construite à partir du IXe siècle ; il remplace une structure plus petite qui existait dans la ville européenne[1].

Fille de Phorcys et de Céto, et donc sœur des Grées[2], elle est une belle jeune fille dont Poséidon s'éprend[3] . Séduite par le dieu dans un temple dédié à Athéna, elle est punie par la déesse qui la transforme en Gorgone. Ses cheveux deviennent des serpents et désormais son regard pétrifie tous ceux qui le croisent[4]. (Selon certaines versions, c'est Aphrodite qui, jalouse de sa chevelure et de sa beauté, change ses cheveux en serpents.)

À la demande de Polydecte, Persée la décapite, aidé selon des sources plus tardives par Hermès et Athéna[5]. De son sang jaillissent ses deux fils, Chrysaor, père de Géryon, et le cheval ailé Pégase[6], sur lequel Persée s'enfuit, poursuivi par les autres Gorgones[7]. Après l'avoir utilisée pour pétrifier le monstre marin envoyé par Poséidon, délivrer Andromède et tuer Polydecte qui retenait sa mère prisonnière, Persée offre à Athéna la tête de Méduse, que la déesse fixe sur son bouclier, l'égide[8].

Pausanias[9] livre une version historicisante du mythe. Pour lui, Méduse est une reine qui, après la mort de son père, a repris elle-même le sceptre, gouvernant ses sujets, près du lac Tritonide, en Libye. Elle a été tuée pendant la nuit au cours d'une campagne contre Persée, un prince péloponnésien.

Dans la mythologie grecque, Andromède (en grec ancien Ἀνδρομέδα / Androméda, « celle qui dirige les hommes »), est la fille de Céphée et Cassiopée, roi et reine d'Éthiopie.

Mythe

Persée délivrant Andromède du monstre marin, vase corinthien, Altes Museum de Berlin

Cassiopée, ayant proclamé que sa fille (ou selon d'autres versions, elle-même) était de beauté égale à celle des Néréides, s'était attiré la colère de Poséidon, qui pour se venger provoqua une inondation et envoya un monstre marin (la baleine Cetus) qui se mit à détruire hommes et bétails.

L'oracle d'Ammon révéla qu'aucun répit ne serait possible tant que le roi ne livrerait pas sa fille au monstre. Celle-ci fut donc attachée nue à un rocher sur la côte. Persée, qui revenait de sa victoire sur la Gorgone Méduse, trouva Andromède, tua le monstre et libéra la jeune fille. Ovide raconte que les algues solidifiées par le venin des serpents de Méduse instituèrent la propriété rigidifiante du corail marin, lorsque celui-ci entre en contact avec l'air.

Persée se maria avec Andromède bien qu'elle fût promise à Phinée, le frère de Céphée. Lors du mariage, une querelle eut lieu entre les deux prétendants et Phinée fut à son tour changé en pierre grâce à la tête de la Gorgone.

Andromède suivit son époux à Tirynthe en Argolide et devint l'ancêtre de la famille des Perséides par l'intermédiaire de son fils Persès. Persée et Andromède eurent six fils : Persès, Alcée, Héléos, Mestor, Sthénélos et Électryon, et une fille : Gorgophoné. Leurs descendants dirigèrent la Mycénie d'Électryon jusqu'à Eurysthée, de qui Atrée reçut le royaume, et le grand héros Héraclès fait partie de cette descendance.

Après sa mort, Andromède fut placée par Athéna parmi les constellations, près de Persée et de Cassiopée.

Sophocle et Euripide, et dans des temps plus modernes, Corneille, écrivirent le récit de sa tragédie, et sa mésaventure est le sujet de nombreuses œuvres d'art anciennes.

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Collections

Il comprend une importante collection de mosaïques romaines couvrant une période allant du IIe siècle au IVe siècle ainsi que des objets — figurines en terre cuite, stèles, ex-votos, poteries, mobilier funéraire, etc. — provenant des fouilles archéologiques opérées sur les sites antiques de la région du Sahel tunisien, principalement les anciennes cités d'Hadrumète (Sousse surtout au niveau de ses catacombes), de Thysdrus (actuelle El Jem) et Salakta.

Parmi les plus belles mosaïques du musée figurent une tête de Méduse, pièce du IIe siècle représentant cet être mythologique avec un décor d'écailles rayonnantes rappelant le pouvoir hypnotique de Méduse, le Triomphe de Bacchus, peut-être la plus belle pièce du musée, où l'on voit le dieu romain du vin sur un char entouré de la Victoire et d'une bacchante, ou encore Zeus qui enlève Ganymède sous l'apparence d'un aigle.

Hadrumète ou Hadrumetum est l'une des principales cités portuaires de l'Afrique romaine sur les côtes de l'ancienne province de Byzacène en Afrique proconsulaire. Elle se trouve à l'emplacement de l'actuelle ville de Sousse.

Origine et statut

Les sources antiques en font mention sous divers noms, sous des formes romanisées ou hellénisées, comme Hadrumès, Hadrumètos, Adrimetum, Adrumtetum ou encore Adrymetum. Comme Carthage ou Utique, elle serait, à en suivre Salluste (Guerre de Jugurtha, 19), une fondation phénicienne prospère établie par des Tyriens. Elle devient l'un des principaux comptoirs puniques. Les stèles de son tophet, dédiées à Ba'al Hammon, en témoignent.

Selon Stéphane Gsell[1], la ville est assiégée par Agathocle de Syracuse en 310 av. J.-C. et, en 202-203 av. J.-C., Scipion l'Africain y fait les préparatifs de la bataille de Zama. Un temps liée à Carthage, elle jouit avec la conquête romaine d'une relative autonomie et figure parmi les sept civitates liberae de l'Afrique romaine. Elle obtient sous Trajan le titre de colonie honoraire.

Vie économique

Haras sur une mosaïque d'Hadrumète
Fichier:Haras, mosaique d'Hadrumète.jpg

Son port, constitué par un bassin artificiel intérieur, semble avoir déjà manifesté une certaine activité à l'époque carthaginoise. Son emplacement littoral privilégié, la richesse de son arrière-pays et sa place de capitale régionale en Byzacène en font une cité opulente. Elle compte de 20 à 30 000 habitants à son apogée. La cité est connue pour sa production d'amphores de type sahélien, reflet de son dynamisme économique. Son commerce est aux mains de notables locaux et de marchands italiens.

Deux domaines en témoignent, la poésie funéraire et l'art des mosaïques. La mosaïque la plus célèbre d'Hadrumète est sûrement celle dite de Virgile, représentant le poète entouré par deux muses. Autre trait qui illustre la romanisation de la population d'Hadrumète, la poésie funéraire nous est connue par l'épitaphe de Lucius Ummidus Liberalis (composée par son frère).

Les catacombes d'Hadrumète, en particulier ceux dit du « Bon Pasteur » et d'« Hermès », comptent plus de 15 000 sépultures datant du IIe au IVe siècles. Les niches présentent des caractéristiques propres aux tombes paléochrétiennes comme les représentations du Bon Pasteur, de la colombe et du poisson.

Une épitaphe (du grec ἐπιτάφιος / epi, "sur" et táphios, « tombeau », par exemple des jeux funèbres ou une oraison funèbre) est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale ou un monument funéraire. Cela peut être un objet donné à une civilisation comme signe de paix.

Dans la Grèce antique, l’épitaphe est un genre littéraire : c’est un éloge funèbre.

 

Catacombes de Sousse

Les catacombes de Sousse sont une nécropole souterraine située à l'ouest de la médina de Sousse (Tunisie). Elle est découverte en 1888 par le colonel Vincent.

Catacombes du Bon Pasteur de Sousse

Aménagées en sous-sol vers la fin du Ier siècle par les chrétiens pour y inhumer leurs morts au temps de leur persécution (comme partout ailleurs dans l'Empire romain), les catacombes se présentent sous la forme de 240 galeries s'étendant sur 5 kilomètres et qui contiendraient près de 15 000 sépultures. Au nombre de quatre dont trois complètement fouillées — les catacombes du Bon Pasteur, d'Hermès et de Sévère —, elles sont mieux conservées que les catacombes de Rome. Cimetière clandestin, les catacombes ont également servi de lieu de culte et de refuge pour les premiers adeptes du christianisme et ont été utilisées jusqu'à la fin du IVe siècle.

Celles du Bon Pasteur, ouvertes à la visite, s'étendent sur 1,6 kilomètre et comportent environ 6000 sépultures creusées dans les parois et superposées sur plusieurs étages. Elles étaient fermées par des tuiles ou des dalles de marbre sur lesquelles sont parfois tracés, à la pointe ou avec un pinceau, les noms des défunts. Les corps étaient ensevelis dans un linceul et parfois noyés dans de la chaux. À intervalles plus ou moins réguliers, on note la présence de niches qui accueillaient des lampes à huile. Quand de nouvelles galeries étaient ouvertes, la terre était reportée dans des galeries désaffectées, ce qui a contribué à leur bonne conservation. Quelques inscriptions et des objets qui formaient le mobilier funéraire sont aujourd'hui conservés au musée de Sousse.

C'était également un espace de création artistique sacrée comme en témoignent quelques unes des œuvres exposées au Musée archéologique de Sousse : épitaphes et gravures sur marbre représentant des symboles sacrés (poissons, colombes, le Bon Pasteur, etc.).

 

Lampe à huile

Lampe à huile en granite, Camiros (Rhodes).
Âge du bronze, vers -1500/-1400.

Une lampe à huile est une lampe dont le combustible est de la graisse animale, de l'huile végétale, de l'huile de baleine ou encore de l'huile minérale.

 

Lampes de l'Antiquité et du Moyen Âge

Lampe à huile romaine en terre cuite avec décor de gladiateurs (Musée de Cologne)

Depuis l'Âge du bronze ont été fabriquées des lampes en pierre, en terre cuite, ou en métal, récipients ouverts ou fermés comportant un ou plusieurs becs destinés à accueillir une mèche, et pour les lampes fermées, un ou plusieurs trous de remplissage, le plus souvent au centre d'une cuvette formant entonnoir. Elles ont servi à l'éclairage depuis les périodes protohistoriques (lampes à huile d'Akrotiri, au musée de Santorin, par exemple), jusqu'au Moyen Âge où l'on utilisait des lampes à pied ou suspendues, à l’imitation des Romains.

Dès l'Antiquité, cependant, l'éclairage à l'huile minérale (naphte) est cité comme pratique courante en Mésopotamie[1]. Cette huile est d'abord épurée par des moyens physico-chimiques, puis distillée,

 Akrotiri (en grec Le Cap) est une localité du sud de l'île de Santorin (une des Cyclades en mer Égée), abritant un célèbre site archéologique.

 

 

Akrotiri minoan town

La procession de navires sur une fresque d'Akrotiri montre aussi un habitat cycladique du IIe millénaire avant notre ère.

COMMENTAIRES PERSONNELS :Ils ont des couronnes de laurier sur la tête, il faut doublecliquer sur l'image.

Il doit sa découverte à Spyridon Marinatos qui y mena les fouilles entre 1967 et 1974. Il s'agit d'une ville de l'âge du bronze, ensevelie par une éruption volcanique vers 1645 av. J.-C..

La ville était probablement la capitale de l’île.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Catacombes_de_Rome

Les décorations

Les catacombes étaient fréquemment décorées de stucs ou de peintures expressives et riches de contrastes chromatiques.

Le style pictural le plus employé est le style linéaire rouge et vert. Il consiste à délimiter de façon géométrique, par des lignes de peinture rouge et verte sur fond blanc, des cadres pouvant accueillir une scène ou divers motifs.

 

Au niveau iconographique, les thèmes varient selon les périodes. En effet, avant la date de 313 qui est celle de la proclamation de l'édit de Milan par Constantin, accordant la liberté de culte, les chrétiens souffrent de persécutions et ne peuvent donc s'exprimer librement. Les peintures des catacombes sont donc à cette époque symboliques et étaient souvent utilisés les symboles de la nouvelle foi : le poisson, l'olivier, le pain, les rameaux, la vigne, la colombe et le bateau. Puis, après la date de 313, les chrétiens peuvent enfin s'exprimer librement ; l'iconographie change alors et des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament sont représentées sur les parois. Les thèmes que l'on rencontre le plus souvent sont ceux des épisodes de la vie de Jonas – notamment celui de Jonas dévoré par le monstre marin – ou des passages de la vie du Christ (la Guérison du Paralytique, la Résurrection de Lazare...).

Cependant, il est bon de souligner que, tous les individus enterrés dans les catacombes n'étant pas chrétiens, il existait aussi des décorations païennes faisant par exemple allusion à la mythologie gréco-romaine.

 

Galerie d'images

 

 

 

Commentaires personnels : SIGNE DU CHRISME XR DONNE PAR L'APPARITION A CONSTANTIN 1er.

Le signe  est le TAU donné par le prophète Ezéchiel par Yahweh. (Le XR, deux premières lettres de XRISTOS. Celui-ci fait partie du culte de Mithra, la Vierge Marie de Mistra, l'Etoilée, Asteriotissa. Nom du Minotaure de Crère Asteria).

 

 

 

 

 Christ soleil

 

 

Suite !!



 

 

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