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Zoroastre

 http://www.theogonia.gr/theoi/theoid/Dias.htm

 

 

 

 

Δίας (μυθολογία)

Άγαλμα του Δία στο μουσείο Ερμιτάζ.

Ο Δίας ή Ζευς στην Ελληνική μυθολογία είναι ο νεότερος γιος του Κρόνου και της Ρέας, εγγονός του Ουρανού και της Γαίας. Είναι η ύψιστη θεότητα του αρχαιοελληνικού πανθέου, καθώς και θεός του ουρανού και του κεραυνού.

Ο Δίας υπήρξε ανέκαθεν μετεωρολογικός θεός, ελεγκτής της αστραπής, του κεραυνού και της βροχής και επίσης ήταν ο δυνατότερος και σπουδαιότερος θεός όλων των μυθολογικών όντων και θεών. Ο Θεόκριτος περίπου το 265 Π.Κ.Ε. έγραψε: «άλλοτε είναι καθαρός ο Δίας, άλλοτε βρέχει». Στο ομηρικό έπος της Ιλιάδας έστελνε τους κεραυνούς στους εχθρούς του. Άλλα εμβλήματά του, ήταν ο αετός και η αιγίς.

Πίνακας περιεχομένων

[] Γέννηση

Ο Δίας είναι παιδί του Κρόνου με την Ρέα, και αδελφός των άλλων θεών, της Εστίας, Δήμητρας, Ήρας, του Άδη και Ποσειδώνα. Η γέννησή του αρχίζει με τους πόνους της Ρέας στη Δίκτη της Κρήτης, όπου έκρυψε το παιδί της στο

σπήλαιο Ιδαίον Άντρον.

La vie de Zoroastre

Ce que l'on sait de la vie de Zoroastre nous vient principalement de l'Avesta, dont les Gathas sont la partie la plus ancienne, des textes grecs, de la tradition orale, et des preuves archéologiques.

Le Spena Nask, 13e section de l'Avesta, décrit la vie de Zoroastre. Ce chapitre, transmis oralement, n'a plus aucune cohérence. Les biographies dans les sept livres du Dēnkard (IXe siècle) et le Šahnāma ont été démontrées comme fausses.

Il est aisé cependant d'affirmer que Zoroastre a vécu au nord-est de l'Iran actuel. Les Grecs s'y réfèrent en l'appelant le Bactrien (un habitant de la Bactriane, l'actuel Afghanistan du nord, un Mède ou un Perse d'il y a 5000 ans). Sa femme est dénommée Hvōvi. Ils ont trois filles : Freni, Friti et Pourucista, ainsi que trois fils : Isat Vastar, Uruvat-Nara et Hvare Ciθra. Sa mère s'appelait Dughdova ; son père était Pourushaspa Spitāma. Son grand-père s'appelait Haecadaspa Spitāma.

Zoroastre aurait eu une illumination concernant le dieu Ahura Mazda, à l'âge de 30 ans. Il créa les bases de sa religion et y convertit sa femme, ses enfants et son cousin Maidhyoimangha.

Les Grecs ont beaucoup fabulé sur sa vie et notamment son enfance. D'après Pline, Zoroastre aurait ri le jour de sa naissance et vécu dans la sauvagerie. Plutarque le compare à Lycurgue et Numa Pompilius (Numa, 4). Dion Chrysostome compare l'Ahura Mazdā de Zoroastre à Zeus. Plutarque, en s'inspirant de Théopompe, compare le zoroastrisme et l'histoire d’Isis et Osiris.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Apollon

Il est aussi possible que ses origines remontent au peuple dorien du Péloponnèse, lequel honorait un dieu nommé Ἀπέλλων / Apéllôn, protecteur des troupeaux et des communautés humaines ; il semblerait que le terme vienne d'un mot dorien, ἀπέλλα / apélla, signifiant « bergerie » ou « assemblée ». 

Lorsque son culte s'introduit en Grèce, il est déjà honoré par d'autres peuples pré-hellènes, ce que l'Hymne homérique qui lui est destiné indique en signalant que les Crétois étaient ses premiers prêtres. Son premier lieu de culte est bien sûr Délos, capitale religieuse des Ioniens ; c'est sous Périclès, au Ve siècle av. J.-C., que l'île passe aux mains des Athéniens, qui confortent son caractère de sanctuaire inviolable en y faisant interdire toute naissance et toute mort. Le culte d'Apollon s'était entre-temps répandu partout dans le monde Antique, de l'Asie Mineure (le sanctuaire de Didymes, près de Milet, en porte la trace flagrante : c'est l'un des plus grands temples jamais bâtis dans la zone méditerranéenne) à la Syrie, sans parler des innombrables temples qui lui sont dédiés en Grèce même

Par ailleurs, selon B. Sergent, le culte d'Apollon ne s'est fixé en Lycie qu'au IVe siècle av. J.-C.. Auparavant, les Grecs ont pu faire des « jeux de mots » entre le nom de la Lycie (Lukia en grec) et les épithètes Lukeios, Lukios, Lukêgenès d'Apollon, qui se rapportent au loup (lukos), l'un des attributs d'Apollon, ou à la lumière (lukê). Il serait Lukê-genès, comme le dit l’Iliade, parce qu'il serait « né de la lumière » et non pas « né en Lycie ».

C'est surtout à Delphes que le caractère complexe du dieu se révèle, dans son rôle d'inspirateur de la Pythie et des hommes, qu'il révèle à soi.

 

 

 

 

Fichier:Glanum-mausolee.jpg 

 

 

 

 

Cénotaphe à Glanum rendant hommage à une famille gauloise ayant aidé Jules César lors de la conquête de la Gaule

Cénotaphe

Un cénotaphe (du grec κενοτάϕιον: kenos « vide » et taphos « tombe ») est un monument élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes (et dont la forme rappelle celle d'un tombeau), et qui ne contient pas de corps.

De nombreux cénotaphes ont été érigés dans le monde depuis l'Antiquité.

Un des cénotaphes les plus connus est celui de Whitehall, situé dans une rue de la Cité de Westminster à Londres.

Le Panthéon de Paris contient quelques cénotaphes dont celui de Jean Moulin.

 

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 Cénotaphe de Saint Hubert (1847).

Hérôon

Sagalassos : hérôon du nord-ouest

Un hérôon (au pluriel Heroa, en grec ἡρῷον) est un édifice d'architecture gréco-romaine dédié à un héros ou à une héroïne et construit au-dessus de la tombe ou du cénotaphe de celui-ci. Il était consacré à la commémoration ou au culte rendu au fondateur de la cité dit aussi oïkiste.

Le culte héroïque est, en Grèce antique, le culte rendu par une communauté plus ou moins importante à un mort fameux ayant vécu dans un passé généralement légendaire et ayant apporté des bienfaits à cette communauté[1], par exemple comme fondateur de la cité, comme héros civilisateur ou comme guerrier. Il existait de multiples cultes rendus à des héros, mais aussi à des héroïnes[2]

Ahura Mazda

Dans l'Empire perse

Dans les inscriptions de Darius Ier, souverain de l'Empire perse, il est désigné comme « le plus grand des dieux » et est généralement invoqué seul. Il est considéré comme la source du pouvoir royal. Les Perses et les Grecs l'assimilent parfois à Zeus : ainsi, le « char sacré de Zeus[3] » évoqué par Hérodote[4], Xénophon[5] ou encore Quinte-Curce[6] est en réalité consacré à Ahura Mazda.

Fichier:Carhaix 29 Chapelle Sainte-Anne statue de sainte Catherine d'Alexandrie.jpg

Carhaix-Plouguer : chapelle Sainte-Anne, statue de sainte Catherine d'Alexandrie représentée avec la roue de son supplice

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_d%27Alexandrie

Le culte

Icône de Bosnie.

Catherine d'Alexandrie dont l'existence historique a été mise en doute par l'Église catholique elle-même de 1961 à 2002 semble à certains historiens avoir été créée comme un contrepoint chrétien à la grande philosophe païenne Hypatie qui, comme elle, était vierge et très savante. Cette pureté attribuée à Catherine est inscrite dans son nom grec qui signifie pure.

La dévotion à sainte Catherine a été l'une des plus répandue en Europe, y compris dans les églises orthodoxes. Beaucoup d'églises contenaient sa statue, entre autres celle de Domrémy-la-Pucelle, ou un portrait figurant le plus souvent une roue. De très nombreuses corporations se sont placées sous son patronage : celles qui utilisaient des mécaniques comportant des roues et celles de l'intellect. La Sorbonne eut, entre autres saints, sainte Catherine d'Alexandrie comme patronne. L'Ordre de la Très Sainte Trinité, ordre religieux fondé en 1193 pour le rachat des captifs chrétiens pris par les barbaresques, vénère Sainte Catherine d'Alexandrie comme sainte patronne.

Etienne Poytevin a écrit une tragédie intitulée Sainte Catherine (Paris, Mathurin Hénault, 1619).

Mariage mystique

Un mariage mystique est le mariage d'une sainte avec le Christ.

Sainte Catherine de Sienne, sainte Catherine d'Alexandrie, sainte Agnès, sainte Marie-Madeleine de Pazzi, sainte Véronique Giuliani, sainte Colette de Corbie, sainte Thérèse d'Avila, sainte Thérèse de Lisieux, sainte Catherine de Ricci, la vénérable Marie d'Agréda, la vénérable Marine d’Escobar, sainte Angèle de Foligno ont connu le mariage mystique.

 

 

Suite !!

 

 

 

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