Miracles et prodiges icônes

 

http://www.russie.net/article2445.html

Révélation miraculeuse de l’icône orthodoxe de la Résurrection

Le 20 octobre 1935 - 2005

 

Cette icône de la Résurrection très ancienne (probablement du 17e siècle) s’est révélée à nos yeux, miraculeusement, le 20 octobre 1935. Voici son histoire ...Une paroissienne N. de l’église d’Asnières s’est vue confier une sorte de planche avec laquelle les enfants jouaient par terre, la rayant, y enfonçant des clous.

Une paroissienne N. de l’église d’Asnières s’est vue confier une sorte de planche avec laquelle les enfants jouaient par terre, la rayant, y enfonçant des clous. La forme et l’aspect de la planche faisaient penser à une icône et N. demanda qu’on la lui. remette, puis elle la donna à l’église.

La planche-icône, noire et indéchiffrable, fut confiée à un iconographe-restaurateur qui ne pût rien faire pour la remettre en état. Finalement elle fut placée dans le sanctuaire, ce qui rassura N., restée fort inquiète au sujet de cette icône, qu’elle appelait martyre "Elle porte, comme notre Seigneur, la marque des clous" disait-elle.

En 1935 une maison fut louée à Rozay en Brie, avec l’espoir d’y fonder une communauté monastique qui prendrait soin de Personnes âgées. Peu à peu commença l’installation d’une Petite chapelle, et l’église d’Asnières envoya toute une série d’icônes pour sa décoration, dont l’icône noire. Les soeurs décidèrent de la fixer à un mur peu éclairé afin qu’elle passe inaperçue, puisqu’on ne pouvait la vénérer.

Le Métropolite Euloge et d’autres membres du clergé étaient attendus le 20 octobre 1935 pour bénir la nouvelle chapelle ainsi que la petite communauté, dont faisait partie soeur Lydie, nommée plus tard mère Théodosie. la future abbesse du monastère de BUSSY. La veille, toutes les soeurs se préparaient activement afin que tout soit beau, propre et en ordre, puis elles se retirèrent dans leurs cellules pour la nuit.

Récit de mère Théodosie, témoin du miracle

« Tôt le lendemain matin N. descendit à la chapelle. Tout à coup un cri retentit dans la maison, un cri tel, que je ne l’oublierai jamais. "Matouchka ! Venez vite" Nous nous précipitâmes vers la chapelle et nous fûmes pétrifiées l’icône noire resplendissait miraculeusement, il était évident que cette icône représentait la Résurrection du Christ et les Douze grandes Fêtes du cycle liturgique.

Je me sentais particulièrement coupable, moi, qui avais voulu la placer sur un mur sombre pour qu’on ne la voit pas !

Déjà l’icône était merveilleuse ; par la suite les éraflures se recouvrirent d’un filet d’or, tout comme les blessures se cicatrisent sur un corps humain. Le plus infime détail apparaissait nettement : on pouvait, par exemple, compter les poils de la queue de l’ânon lors de l’Entrée du Christ à Jérusalem. L’icône semblait vivre de l’intérieur.

Lorsqu’arrivèrent Monseigneur Euloge et son clergé, notamment le Père Méthode,-à l’époque recteur de la paroisse d’Asnières, d’où venait l’icône- et qu’ils eurent pris connaissance du miracle, ils décidèrent de dédier l’église à la Résurrection du Christ, et non à la Mère de Dieu, comme nous l’avions pensé auparavant. Ainsi nous aurions deux fêtes : le 20 octobre, jour du miracle et le 13 Septembre, jour de la dédicace de la basilique de la Résurrection à Jérusalem.

De tous ceux qui ont assisté à ce miracle je reste seule. »

Soeur Lydie, devenue par la suite Mère Théodosie, fut nommée Supérieure du Monastère Notre-Dame de Toute Protection, à Bussy en Othe. La maison de Rozay en Brie transformée en maison de retraite fut fermée en 1972 et l’icône fut solennellement ramenée à Asnières. C’est là qu’elle est vénérée jusqu’à ce jour.


Tropaire, ton 4

Comme Tu as orné de splendeur le firmament céleste, sur terre aussi Tu pares de beauté la sainte demeure de Ta gloire, Seigneur. Pour les siècles des siècles, affermis-la et par les prières de la Mère de Dieu, agrée les incessantes supplications qu’en ce temple nous faisons monter jusqu’à Toi, Seigneur, notre vie et l’universelle résurrection.

Kondakion, ton 4

L’Eglise s’est montrée comme un ciel aux mille feux, illuminant l’ensemble des croyants ; nous y chantons : Seigneur, affermis ce temple saint !

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/receo_0338-0599_2005_num_36_4_1736

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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http://forumarchedemarie.forumperso.com/t3484-la-question-des-miracles-ds-l-eglise-orthodoxe 

Les icônes, qui sont aussi considérées comme des intermédiaires entre le Chrétien et son Dieu, sont particulièrement à même de remplir cette fonction. Ainsi, le passage entre le monde d’ici-bas et l’au-delà se fait en elles dans les deux sens : en vénérant l’image, le Chrétien trouve un support de son adoration de Dieu et une fenêtre vers l’au-delà; de son côté, la puissance divine peut aussi se manifester à travers elles, par des signes miraculeux.

La présence de l’huile comme élément d’une médecine céleste est fréquente dans l’hagiographie, tant dans les vies de saints orientaux (par exemple: Miracles de Saint Démétrius, 6e-7e siècles, Vie de Saint Nicolas de Myre, 8e-9e siècles) qu’occidentaux (les Sept livres de miracles de Grégoire de Tours, 6e siècle ).

Auriez -vous quelques exemples de miracles historiques chez les Orthodoxes?

Comme il est question d’icône miraculeuse, je vous donnerai quelques exemples de miracles liés à des icônes.

• Miracles de l’icône de la Vierge des Blachernes à Constantinople, à l’époque byzantine. Cette icône est très célèbre. Elle aurait permis aux Byzantins de repousser les Avars en 626, les Arabes, en 717, les Russes, en 864. Elle était d’ailleurs le lieu d’un miracle habituel qui se produisait tous les vendredis. L’église où elle était conservée a été détruite par un incendie en 1434.

• Miracles de la Vierge de Vladimir. Icône byzantine offerte par le patriarche de Constantinople au grand-duc de Kiev en 1131. Aux 14e-15e siècles, elle a sauvé trois fois Moscou: invasion de Tamerlan en 1395, hordes tatares en 1451 et 1480. Elle est aujourd’hui exposée dans un lieu spécial (où le culte est permis et où les fidèles sont toujours présents) de la galerie Tretiakov à Moscou.

• Miracles de la Vierge “à trois mains”. Elle aurait permis la guérison de la main de saint Jean Damascène au 8e siècle. Saint Sabas (mort en 1235) l’aurait ramenée en Serbie après un voyage en Palestine. En 1459 elle fut transportée au monastère de Chilandar au Mont Athos, haut lieu de la spiritualité serbe.

• Miracles de l’icône de l’Annonciation de l’île de Tinos, en Grèce. L’icône, découverte en 1822 à la suite de visions, a donné lieu à l’un des principaux pèlerinages de la Grèce moderne, qui se perpétue jusqu’à nos jours, avec de très nombreuses guérisons constatées par l’Eglise.


Comment comprendre cette actualité: est-ce extrêmement rare, plutôt courant?


Il s’agit d’un phénomène assez courant dans les récits hagiographiques. Je vous renvoie à l’article de Mme Béatrice Caseaux sur Google Books, qui dresse un historique depuis la période du christianisme primitif. Pour résumer, je dirai que l’usage des huiles (parfumées ou non) dans la médecine antique, combiné à la valeur symbolique de l’huile dans le culte chrétien (voir par exemple le sacrement de l’onction, et par extension la pratique de l’onction des malades), a donné lieu à cette perception de l’huile comme une des manifestations de la divinité. L’huile parfumée, comme tout ce qui sent bon d’ailleurs, est une expression de la vie céleste, un effluve venu du Paradis. Il est normal que les huiles parfumées, que les témoins disent avoir vu couler des icônes miraculeuses, soient considérées comme des signes de la divinité.


Ces huiles parfumées ne coulent pas seulement des icônes, mais aussi et surtout des reliques des saints. On a des récits relatant la très grande abondance et répétition de ces écoulements dans certains cas célèbres: à Chypre, en 649-650, on aurait rempli trente jarres de l’huile miraculeuse dégagée par les reliques de saint Epiphane. De même, en 1087, lorsque les marins qui emportèrent les reliques de saint Nicolas à Bari entrèrent dans son tombeau, il apparut que le sarcophage qui contenait ses restes était plein d’huile.



Les larmes d’huile d’olive ont-elles une connotation particulière dans la religion orthodoxe ? Quel sens religieux va t-on donner à ce phénomène ?


Tout d’abord, ce ne sont pas des larmes, mais plutôt le signe d’une bénédiction et d’une joie céleste. Puis cette huile n’est pas considérée comme une huile d’olive, ou de tout autre matière terrestre. Il s’agirait d’un onguent divin, qu’on appelle le myron. Il s’agit d’une huile au parfum très délicat, décrite dans plusieurs récits anciens comme d’une huile sentant les fleurs du Paradis. Le saint ou l’icône qui dégagent cette huile sont qualifiés de myroblytes. Le sens religieux donné à ce phénomène est la manifestation de la grâce divine, une grâce qui est soit prophétique, soit une protection collective ou individuelle. En effet, cette grâce peut concerner une seule personne, une famille ou une communauté monastique, une ville entière, un pays, etc.
[J'ajouterais ici, car j'ai oublié de le signaler dans l'interview, que c'est de ce phénomène que vient l'expression française être en odeur de sainteté.]

http://www.eof.fr/icone_nd.htm 

  

Implantation du monastère :
Notre Dame de Bethleem
et l'arbre de la manifestation

 

Paris, Pentecôte 1978 - Dans la paroisse parisienne, Notre-Dame de Bethleem, les derniers préparatifs de la Liturgie pontificale s'achèvent lorsque Mgr Vigile signale, en passant devant le proskynétaire de l'icône de ND de Bethleem, qu'une veilleuse a dû se renverser car l'icône est maculée d'huile. Les servants de la Liturgie la nettoient aussitôt ne comprenant pas trop ce qui a pu se produire car il n'y a pas de veilleuse à proximité de cette icône !

Durant la Liturgie, des fidèles constatent à leur tour le même phénomène : l'icône est de nouveau recouverte d'huile et le tissu sur laquelle elle repose en est maculé. L'huile semble répandre autour d'elle un parfum subtil et indéfinissable; "mélange de lys et de rose" diront certains fidèles.

Après la Divine Liturgie, l'icône est essuyée avec quelques cotons. Peine perdue car de fines gouttelettes réapparaissent lentement à la surface de l'icône. Cette fois, il faut se rendre à l'évidence : l'icône Notre Dame de Bethleem exsude une huile merveilleusement parfumée !

Dans l'orthodoxie, le phénomène demeure exceptionnel et, s'il demeure inexpliqué, il n'en est pas moins reconnu. (Icône de Soufanieh Syrie -1982 , Icône de Marie Porte du Ciel - dont celle de Toulouse, années 90 )

La paroisse N.D. de Bethleem est en émoi. Les commentaires des fidèles - et du clergé - vont bon train. A défaut de pouvoir expliquer le mystère, chacun tente de comprendre le message de ce signe divin. Car, sans parler de miracle, le signe est évident.

Avec le recul du temps, l'explication de ce signe semble être d'avoir voulu affermir la communauté dans la foi et lui donner davantage de force spirituelle en vue des tribulations concernant l'implantation du monastère et son développement.

L'icône de Notre Dame de Bethleem continuera à exsuder son huile parfumée une année durant. Des guérisons seront constatées, puis le phénomène cessera comme il est apparu, presque aussi soudainement .

 http://eglise.syro-orthodoxe-francophone.over-blog.com/pages/Apparitions_de_la_Ste_Vierge_en_Egypte_Decembre_2009_Icone_miraculeuse_de_Garges_Les_Gonesses-2409309.html

Apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie
à El-Warraq Eglise copte orthodoxe, Grand Caire, Egypte

Apparition ste Vierge in église orthodoxe copte_Warraq Caire
envoyé par pssrsffldDdfgrprlpch. - L'info video en direct.Warraq EL-Hadar est une petite île dans le Nil du grand Caire (la Giza governorate, partie du Plus grand Caire). C'est une zone pauvre. Plus de 200.000 (des chrétiens et des musulmans) personnes ont été jusqu'ici témoins des apparitions de décembre 2009 de la Vierge Marie sur les dômes de l'Église Orthodoxe copte de l'Archange Michael dans EL-Warraq (comme au 22 décembre 2009). Des lumières d'apparition dans le ciel nocturne ont pu également être vues à plusieurs kilomètres de distance de l'Église. Les gens ont utilisé leurs téléphones portables pour faire des vidéos des apparitions et les partager par l'intermédiaire de Bluetooth et sur YouTube. La silhouette complète de la Bienheureuse Vierge Marie vêtue en robe bleu-clair a pu être clairement vue au-dessus des dômes de l'Église entre les croix de l'Église. Les apparitions ont également reçu une large couverture médiatique dans la presse égyptienne et les chaînes de télévision arabes. Les apparitions ont commencé pendant le mois copte de Kiahk (décembre 2009), le mois marial/Nativité de jeûne dans le Calendrier Copte. Pendant ce mois l'Église Copte célèbre une louange spéciale de minuit consacrée à la Vierge Marie et à l'Incarnation

 
Décembre 2009

 l'ère de Sa Sainteté le Pape Shenouda III et Anba Dumadius, Archevêque de la Gizeh.

  

L'Évêché de la Gizeh annonce que la Vierge Sainte est apparue dans une transfiguration à l'Église qui porte Son nom dans Warraq Al-Hadar, Gizeh, dans les premières heures de vendredi, 11 décembre 2009 à 1:00am. La Vierge Marie est apparue de toute sa hauteur dans des robes longues lumineuses, au-dessus du dôme médian de l'église, dans une robe blanche pure et une ceinture bleu roi. Elle avait une couronne sur sa tête, au-dessus de laquelle est apparue la croix sur le dôme. Les croix sur les dômes de l'église et les tours ont rougeoyé vivement avec la lumière. La Vierge Sainte s'est déplacée entre les dômes et jusqu'au dessus de la porte de l'église entre ses deux Tours jumelles. Les résidants locaux l'ont tous vue.

 http://eglise.syro-orthodoxe-francophone.over-blog.com/pages/Apparitions_de_la_Ste_Vierge_en_Egypte_Decembre_2009_Icone_miraculeuse_de_Garges_Les_Gonesses-2409309.html

 

 

Suite !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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