La Grèce ?? HELLAS ELLAS ELLADA

http://www.amb-grece.fr/grece/la_grece_en_bref.htm

 Le Mont Olympe, la demeure des douze dieux de la mythologie grecque antique, est la plus haute montagne du pays et culmine à 2.904 m.

La plus grande agglomération urbaine est Athènes, la capitale, avec 3.206.280 habitants. Le Pirée est le port le plus important, Thessalonique, la capitale de la Macédoine, est, par sa population de près d’un million d’habitants, la deuxième ville grecque. C’est un port important, un passage ouvert sur les Balkans, et le principal centre économique et culturel de l’ensemble de la Grèce du Nord.

 

Religion

 

En pourcentage de la population : 97,6% d’orthodoxes, 1,3% de musulmans, 0,4% de catholiques, 0,1% de protestants, 0,08% de juifs, 0,6% de diverses religions. L’Église grecque orthodoxe est autocéphale et a ses propres statuts, mais sa doctrine est indissolublement rattachée à celle du Patriarcat Oecuménique de Constantinople. Le très fameux Mont-Athos, situé au sud-est de la Macédoine, sur la péninsule de Chalcidique, est un territoire auto-administré. Ses nombreux monastères forment depuis un millénaire un centre monastique orthodoxe.

 

 

Langue : La langue grecque, dont l’histoire embrasse sans éclipses trois millénaires et demi, est l’élément principal de la continuité de la conscience nationale. Le grec moderne dérive directement de l’idiome utilisé par Homère et, comme langue des Évangiles, il a beaucoup contribué à la formation de toutes les langues occidentales. À l’heure actuelle seuls les Grecs assurent une telle continuité linguistique. C’est ce qui distingue clairement le grec du latin qui, après avoir donné naissance à de nombreuses langues néo-latines, du roumain au portugais, s’est définitivement éteint.

 

HISTOIRE

Le début de l’histoire grecque remonte à plus de 4000 ans. La population de la Grèce continentale, appelée hellénique, a lancé de grandes expéditions militaires et navales et a exploré les rives de la Méditerranée et de la mer Noire, de l’Atlantique aux montagnes du Caucase. L’une de ces expéditions, le siège de Troie, décrite dans l’Iliade d’Homère, constitue la première grande œuvre littéraire européenne. De nombreux vestiges des colonies grecques ont été trouvés sur tout le pourtour de la Méditerranée et de la mer Noire.

 

Au cours de la période classique, au Vème siècle av. J.-C., la Grèce était composée de cités-États dont les plus importantes étaient Athènes, Sparte et Thèbes. L’implacable esprit d’indépendance et l’amour de la liberté des Grecs permettent de défaire les Perses au cours de batailles devenues célèbres dans l’histoire de la civilisation : Marathon, Thermopyles, Salamine, Platées.

Dans la deuxième moitié du IVème siècle av. J.-C. les Grecs, conduits par Alexandre le Grand, conquièrent la plus grande partie du monde alors connu et entreprennent de l’helléniser.

 

En 146 av. J.-C. la Grèce devient romaine. En 330 ap. J.-C. l’empereur Constantin transfère la capitale de l’Empire romain à Constantinople, fondant l’Empire romain d’Orient, qui fut rebaptisé par les historiens occidentaux du XIXème siècle « Empire byzantin » ou, en bref, Byzance. Byzance fait de l’héritage linguistique de la Grèce antique la langue véhiculaire des nouvelles civilisations chrétiennes.

L’Empire byzantin, affaibli par les attaques des Croisés, succombe à l’assaut des Turcs en 1453. Les Grecs resteront sous le joug ottoman pendant près de quatre siècles. Au cours de cette période leur langue, leur religion et la conscience de leur identité sont demeurées vivantes.

La révolte des Grecs, commencée le 25 mars 1821, s’achève en 1828 par la reconnaissance de leur indépendance, mais le nouvel État ne comprend qu’une part infime des territoires habités par les Grecs et la lutte pour la libération de l’ensemble du territoire national se poursuit. Les îles Ioniennes sont récupérées en 1864, la Thessalie et une partie de l’Épire en 1881, la Crète, les îles de l’Égée orientale et la Macédoine en 1913 et la Thrace occidentale en 1919. Les îles du Dodécanèse sont rattachées à la Grèce après la Deuxième Guerre mondiale.

Maxime du pays : « La Liberté ou la Mort ».

INSTITUTIONS

La Grèce, ou Hellas (dénomination grecque), est le berceau de la politique en tant qu’art, et de la démocratie comme forme de gouvernement. Ses idéaux démocratiques ont régi, entre autres, les principes fondamentaux de la Constitution américaine. La Constitution actuelle de la République Hellénique, votée en 1975 et amendée en 1986, définit le système politique du pays comme une démocratie parlementaire.

La Grèce dans le monde : La Grèce est membre de l’ONU, du FMI, de la OSCE et de la plupart des institutions occidentales importantes comme l’OCDE, l’OTAN, l’UEO, le Conseil de l’Europe et l’UE dont elle est membre à part entière depuis 1981. L’engagement du pays dans la voie de l’Union Européenne jouit d’un soutien politique écrasant.

 J'ai trouvé sur un site Internet grec la version originale de la déclaration des vingt monastères de la sainte Montagne, ce qui permettra à chacun de constater de quelle manière la dépêche AFP caricature la déclaration et ne retient que ce qui l'arrange:

http://newsportal.rnn.gr/?c=156&a=1849
http://www.forum-orthodoxe.com/~forum/viewtopic.php?p=13879

Ce qui est dramatique, c'est que la dépêche AFP pour le moins désinformante, reprise par La Croix, a ensuite été postée par des internautes catholiques romains que nous connaissons bien pour poster de forum en forum sous différents pseudonymes ou sous le même pseudonyme sur différents sites de même obédience, donnant naturellement lieu à des commentaires désobligeants ou qui se veulent drôles à propos de la déclaration des moines hagiorites, sans, bien sûr, que ces grands esprits prennent la peine de se référer au texte original ou essayent d'en appréhender la grande profondeur spirituelle.

Par exemple, au lieu de faire des plaisanteries faciles sur le réchauffement climatique ou de s'indigner que les moines de tel monastère de Grèce, héritiers des martyrs et confesseurs de 1231 et de 1274, osent encore rappeler les erreurs de ceux qui se sont séparés de l'Eglise une, voulue et fondée par le Christ, ceux qui ont encore la préoccupation de leur salut devraient peut-être méditer le passage de cette déclaration où les moines athonites rappellent que l'Orthodoxie, par sa confession du christianisme authentique, est l'espoir des peuples d'Europe (η ελπίδα των λαών της Ευρώπης). Que le malade refuse le médicament et se moque du médecin, c'est l'usage qu'il fait de sa liberté. Mais cela ne change rien à ce fait simplement logique que rappelle la déclaration des moines athonites: on ne préservera pas les racines chrétiennes de l'Europe en signant des accords politiques et culturels avec eux qui sont responsables de la situation actuelle; on ne les préservera qu'en continuant à confesser la foi reçue de Notre Seigneur, effectivement le seul espoir des peuples de l'Europe.

 Je vous suggère de vous rendre sur le site de la revue Géostratégiques pour consulter les articles en ligne du numéro de juin 2006 consacré à l'avenir de l'ONU. En effet, on y trouve un article sur l'ONU et les religions qui n'a pas été repris dans la version papier. On y voit clairement le projet explicite dès la fondation de l'ONU de ramener la diversité des religions à une seule religiosité adogmatique et soumise aux "droits de l'homme", c'est à dire au projet de société états-unien.
http://www.strategicsinternational.com

 La communauté du Mont Athos exprime sa désapprobation suite aux récentes rencontres du patriarche oecuménique et de l'archevêque d'Athènes avec le Pape Benoît XVI

 De plus, l'objectif commun exprimé par l'archevêque d'Athènes et le pape de défendre les racines chrétiennes de l'Europe - qui à première vue peut paraître anodin voire même être positif dans la mesure où il vise à la réalisation de relations pacifiques entre les hommes - soulève cependant une objection légitime. L'Europe occidentale porte le poids d'une série de législations antichrétiennes, qui sont des conséquences des erreurs théologiques que Rome a commises en s'écartant de l'orthodoxie.
« Il est souhaitable que l'orthodoxie ne porte pas le poids des péchés d'autrui et qu'elle ne donne surtout pas l'impression aux citoyens d'Europe occidentale, qui ont été déchristianisés par réaction aux excès du christianisme occidental, que l'orthodoxie orientale s'identifie à ce dernier, manquant ainsi de porter témoignage de ce que c'est elle la seule foi authentique dans le Christ et qu'elle est l'espoir des peuples de l'Europe ».

Dans le communiqué qui a été signé par tous les représentants des monastères du Mont Athos, il est indiqué que « l'ecclésiologie catholique-romaine des "Eglises-sœurs" s'oppose à la conscience que l'Eglise orthodoxe a d'elle-même comme seule Eglise, une, sainte, catholique et apostolique. Le Filioque est présenté comme une autre expression prétendument légitime de l'enseignement orthodoxe sur la procession de l'Esprit Saint.
« Le Pontife considère la primauté papale comme privilège intangible, comme il appert de son renoncement récent au titre de patriarche d'Occident et à la référence qu'il fait dans le discours qu’il a prononcé dans l'église du patriarcat, à l'universalité du rôle de l'apôtre Pierre et de ses successeurs. Selon des témoignages indubitables, de diverses manières et par différentes voies, l'uniatisme tente de se renforcer et de s'imposer.
Le Vatican a fait encore un pas de plus en avant dans les prières inter-religieuses et à travers elles se manifeste la prétention à l'hégémonie pan-religieuse du pape de Rome.
Les manifestations amicales des deux primats créent une impression trompeuse d'unité, empêchent le monde hétérodoxe de considérer l'Eglise orthodoxe comme la véritable Eglise, affaiblissent la sensibilité dogmatique de beaucoup d'orthodoxes et suscitent encore davantage la probable création de nouveaux schismes.

Nous les Athonites, nous sommes déterminés à préserver l'héritage transmis par nos saints Pères et nous oeuvrons à cette fin de toutes nos forces. Nous veillons sur notre conscience dogmatique comme sur la pupille de notre œil.
Nous craignons de nous taire chaque fois que se posent des questions qui concernent l'héritage que nous ont transmis les Pères. Nous ressentons profondément notre responsabilité à l'égard du peuple fidèle de l'Eglise qui tourne les yeux vers le monachisme athonite comme vers un gardien indéfectible des saintes traditions. C'est pourquoi nous déclarons avec peine que la sainte Montagne est en désaccord avec les prières communes et la participation aux synaxes liturgiques, qui donnent l'impression que l'Eglise orthodoxe considère les catholiques-romains comme une Église à part entière et le pape comme évêque canonique de Rome.
La sainte Montagne n'admet pas les faits accomplis ; par la grâce de Dieu, elle reste fidèle à la foi des saints Apôtres et des saints Pères par amour pour les hétérodoxes eux-mêmes, afin qu'ils trouvent eux aussi l'unique voie de l'espérance et du salut. »

Voilà une voix unie et stable dans la dénonciation des excès de l'oecuménisme.

http://www.aquadesign.be/calendrier/fondation-onu,267.html

 Dès le début de la seconde guerre mondiale, Winston Churchill et Franklin Roosevelt projettent de la remplacer par une nouvelle organisation supranationale. Ce sera fait lors de la conférence de San Francisco, le 26 juin 1945, après la capitulation allemande et un peu avant la capitulation japonaise. L'Organisation des Nations Unies est née avec 51 pays signataires. Le siège de l'ONU est fixé à New York et l'institution comporte des piliers et des organisations satellites. Ainsi, l'on trouve l'Assemblée générale, chaque pays ayant le même droit de vote, ce qui évidemment n'est pas représentatif des puissances nationales. Le siège administratif sert surtout à permettre les contacts entre diplomates de tous les pays et à traiter les problèmes du monde quand ils se présentent. C'est le Secrétaire général qui s'occupe de l'administration. Il est élu pour 5 ans par l'Assemblée générale, sur proposition du Conseil de sécurité. Ce dernier comporte cinq membres permanents : Etats-Unis, URSS (aujourd'hui Fédération de Russie), Royaume-Uni, France, Chine. Le Conseil comprend aussi des membres tournants élus par l'Assemblée générale tous les deux ans : ils sont dix aujourd'hui. L'on compte cinq états d'Afrique et d'Asie (3 d'Afrique, 2 d'Asie), un état d'Europe orientale, deux états d'Amérique du Sud, deux états d'Europe occidentale et autres états. Le maintien de la paix internationale revient au Conseil de sécurité de l'ONU : il peut ainsi décider de sanctions économiques ou diplomatiques, voire d'une intervention militaire (comme en 1991 lors de la Première guerre du Golfe). Les membres permanents ayant un droit de veto, l'action du Conseil de sécurité est souvent limitée. Beaucoup d'organisations satellites dépendent de l'ONU (Unicef pour la protection de l'enfance, Banque Mondiale, Fonds monétaire international, Unesco, Cour internationale de justice, CNUCED qui s'occupe du commerce et du développement, UNHCR qui gère les réfugiés, FAO pour l'agriculture et l'alimentation...). Aujourd'hui, l'ONU compte 192 états membres, comprend 10 000 fonctionnaires pour un budget de 4 milliards de dollars. Si l'ONU dispose d'une force militaire, les « Casques bleus » ne peuvent cependant résoudre tous les problèmes de la planète...

 

Le 26 juin 1945, à San Francisco, les représentants de 51 pays fondent l'Organisation des Nations Unies (ONU).

Promise dès 1941 par Roosevelt et Churchill, l'ONU remplace la Société des Nations (SDN).

Issue de la Première Guerre mondiale, celle-ci avait failli dans sa mission de paix en partie parce que les États-Unis avaient renoncé à y entrer.

L'ONU naît alors que l'Allemagne vient de capituler et que se poursuit la guerre contre le Japon. Son siège est fixé à New York, preuve que les États-Unis sont cette fois décidés à assumer leurs responsabilités mondiales.

Les trois piliers de son organisation sont :
- 1) l'Assemblée générale (192 membres aujourd'hui, avec le même droit de vote, qu'il s'agisse de l'immense Chine ou du micro-État de Nauru !),
- 2) le Secrétariat général, en charge de l'administration (10.000 fonctionnaires et un budget de 4 milliards de dollars),
- 3) le Conseil de sécurité.

Le Conseil de sécurité réunit dix membres tournants et des membres permanents. Aux quatre membres permanents de 1945 (États-Unis, URSS/Russie, Royaume-Uni, France) s'ajoute aujourd'hui la Chine.

Le Conseil peut sanctionner des États fautifs et même autoriser une action militaire comme ce fut le cas en 1991 suite à l'invasion du Koweit par l'Irak, mais sa capacité d'action est limitée par le droit de veto des cinq membres permanents.

À la différence de la SDN, l'ONU dispose d'une force militaire, les «Casques bleus».

«L'ONU n'a pas créé le paradis, mais elle a évité l'enfer», a pu dire d'elle son deuxième secrétaire général, le Suédois Dag Hammarskjöld...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_des_Nations_unies

Depuis l'adhésion du Monténégro en 2006, l'ONU compte désormais la quasi-totalité des États du monde, soit 192 sur les 195 qu'elle reconnaît - les seuls États n'étant pas membres étant le Vatican (qui a cependant un statut d'observateur), les îles Cook et Nioué[Note 2]. Le Vatican est toutefois le seul État pleinement souverain et reconnu par les Nations unies bien qu'il n'en soit pas membre. Il n'existe aucun obstacle à son adhésion si les autorités vaticanes souhaitent un jour rejoindre l'organisation.

 

Financement

Le financement de l'organisation des Nations unies et de ses agences spécialisées est assuré par les contributions obligatoires des pays membres et par des contributions volontaires de toutes organisations, entreprises ou encore particuliers. Il existe notamment une tradition américaine de fondations qui supportent l'activité des Nations unies. Le site du siège des Nations unies à New-York, par exemple, est un don de la fondation John D. Rockefeller Jr., Ted Turner a fait un don de 1 milliard de dollars US en 1998 à une fondation[Qui ?] qui défend la cause des Nations unies, et notamment le paiement des arriérés du gouvernement américain.

Le budget ordinaire des Nations unies ( ~ 3 milliards d'Euros en 2008-2009), établi tous les deux ans, est basé sur les contributions obligatoires fixées par l'Assemblée générale. A la demande des États-Unis, le niveau maximum de la plus grosse contribution a été fixé à 22 % (le seuil minimal est quant à lui de 0,001 % du budget global)[1].

En 2005, la composition était la suivante : États-Unis (22 %), le Japon (19,5 %), l'Allemagne (8,6 %), la France (6,5 %), le Royaume-Uni (6,1 %), l'Italie (4,9 %), le Canada (2,8 %), l'Espagne (2,5 %), la République populaire de Chine (2 %), la Corée du Sud (1,8 %).

http://www.noella1.com/rubrique,oeuvrer-pour-la-paix-s2,485686.html

Depuis plusieurs années les Nations unies connaissent des problèmes financiers. Ils sont principalement dus aux arriérés de paiement des États-membres parmi lesquels le plus grand débiteur est les États-Unis avec 61 % du total en 1999[2]. Les contributions obligatoires ne sont pas toujours remplies à temps par les autres États membres. Seuls 31 États sur 192 l'ont fait en février 2007[3]. L'ONU étant de plus en plus souvent engagée dans des opérations de maintien de la paix dans le monde (objectifs qui n'étaient pas formellement prévus dans sa Charte), cela a un impact important sur son budget en raison du coût élevé de ces interventions. Néanmoins il s'agit d'un budget séparé du budget ordinaire. Dans ce domaine également les États-Unis partagent 62 % de la dette avec un autre pays. Cet état de fait a été évoqué dans un bulletin de session du sénat belge en 1998[4] ainsi que dans la section « affaires étrangères » d'un projet de loi de finances du sénat français en 2001[5]. De nombreux États souhaitent une réforme en profondeur des Nations unies.

 “Pour les nouvelles structures politiques européennes cela serait un signe d’appartenance à la civilisation de l’Europe. Il serait impossible de bâtir notre futur européen commun sans qu’il soit basé sur l’histoire de notre spiritualité commune – le christianisme. Il est fort douteux qu’actuellement il existe une personnalité plus brillante que celle de Bartholomé Premier qui pourrait personnifier à la fois le martyre, la vertu, la philanthropie et la tolérance du christianisme en tant que tradition par laquelle se caractérise toute la philosophie politique et quotidienne de la civilisation européenne.
L’Europe devrait porter son soutien à son leader précieux Sa Toute Sainteté Monsieur, Bartholomé Premier – Archevêque de Constantinople – le Nouveau Rome et Patriarche œcuménique qui représente une figure progressive et brillante pour l’unité spirituelle des européens grâce à la recherche d’union et de consolidation entre le catholicisme et l’orthodoxie.
Le patriarche Bartholomé Premier et le pape Benoît XVI ont signé une convention d’union des chrétiens. Le précepte du pape Jean-Paul II disait :
« L’Europe doit respirer avec ses deux poumons », en considérant ce qui a été réalisé pour le rapprochement entre les catholiques et les orthodoxes. Dans le même temps le Patriarche œcuménique est autorisé par toutes les communautés chrétiennes de mener le dialogue intrareligieux avec les grands prêtres du judaïsme. Les valeurs morales européennes sont les valeurs morales chrétiennes”

 

La Grèce accorde une très grande importance à l'ONU, dont elle est membre fondateur, alors qu'il existe une longue tradition de collaboration sur de nombreux domaines et d'attachement aux principes du droit international", a déclaré M. Papandréou, rendant compte de son entretien avec M. Ban Ki-moon.

L'État de la Cité du Vatican est un État indépendant enclavé dans la ville de Rome en Italie. C'est un État internationalement reconnu, mais non membre de l'ONU où il possède le statut d'observateur.

Dès 1957, le Vatican est parvenu à ce que les Nations Unies rendent compte de leurs décisions au Saint-Siège.

En 1964, sans qu’aucune décision, ni loi ni décret, n’ait été prise, le voilà devenu observateur permanent bien qu’Etat non membre.

Ce statut exceptionnel lui permet de participer à tous les débats de l’organisation sans avoir pour autant à se conformer aux programmes de l’ONU. Y compris ceux sur l’alphabétisation, le contrôle des naissances et la lutte contre le VIH contre lesquels le Vatican mène bataille à l’intérieur de son territoire en tant qu’Etat et ailleurs dans le monde sous forme de groupe d’intérêt !

 
Suite !!
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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