http://fr.wikipedia.org/wiki/Baal
Culte Baal
Les textes bibliques témoignent de la lutte acharnée qui prend place à partir du IXe siècle contre la vénération des divinités qu'incarne Baal qui concurrencent Yhwh, divinité d'Israël en voie de « monothéisation »[1].
C'est de loin la divinité vétérotestamentaire la plus mentionnées après Yhwh (Yahweh) ou Elohim, avec près de 90 occurrences[2].
On le décrit comme le culte du veau d'or dans le livre d'Osée[3]. Dans la Bible il n'a aucune identité précise, mais rassemble toutes les divinités qui pourraient détourner le peuple de Yahweh du droit chemin. C'est pourquoi dans le livre des juges chaque histoire commence par : « Le peuple de Yahweh se détourna de Yahweh et adora les Baals et les Astartés. »
De la même façon Astartés rassemble les divinités se référant à Ishtar, la déesse de Babylone.
À ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colline, appelés hauts lieux. À l'intérieur se trouvaient des icônes et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens. Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (soleil, étoiles)[4].
Selon la Bible, des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux et certains passage bibliques rapportent parmi les rituels chaldéens des sacrifices enfants pour obtenir les faveurs de la divinité[5], dans le livre de Jérémie (19:5 ) : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, Pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n'avais ni ordonné ni prescrit, Ce qui ne m'était point venu à la pensée ».
Cathédrale d’Athènes
La cathédrale métropolitaine d’Athènes ou cathédrale de l’Annonciation (grec moderne : Καθεδρικός Ναος Ευαγγελισμού της Θεοτόκου) est l’église cathédrale de l’archevêque primat d’Athènes et de toute la Grèce.
La cathédrale métropolitaine d’Athènes ou cathédrale de l’Annonciation (grec moderne : Καθεδρικός Ναος
Histoire
La construction de la cathédrale commence le 25 décembre 1842 et ce sont le roi Othon Ier et la reine Amalia de Grèce qui en posent la première pierre.
Lors des travaux, on utilise le marbre de soixante-douze églises démolies pour édifier les murs immenses du bâtiment. Trois architectes et vingt années sont nécessaires pour l’achever. Enfin, le 21 mai 1862, la cathédrale est dédiée à l’Annonciation par le roi Othon et son épouse.
En 1999, la cathédrale est endommagée par un tremblement de terre et une opération de restauration doit être menée. Début 2009, l’archevêque Hiéronyme II d'Athènes annonce officiellement que le bâtiment sera fermé durant un an dans le but d’y réaliser des travaux.
Reliques
La cathédrale d’Athènes abrite les reliques de deux saints tués durant l’occupation ottomane :
La place de la cathédrale abrite deux statues. La première est dédiée à l’empereur byzantin Constantin XI, ethnomartyr de l’Église orthodoxe grecque, mort lors de la prise de Constantinople par les Ottomans. La seconde statue est celle de l’archevêque Damaskinos d'Athènes, régent durant l’exil du roi Georges II de Grèce et Premier ministre en 1946.
http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/athenes__grece_/index.html
l'olivier sacré d'Athéna. Il y avait une crypte dont une partie servait de cage aux serpents sacrés. Des vierges s'occupaient des serpents, qui représentaient les protecteurs de la cité.
La cathédrale d’Athènes :
Dédiée à l’annonciation de la Vierge Marie et connue sous le nom de « metropolis », c’est la cathédrale désignée de l’archevêque d’Athènes mais également de toute la Grèce en générale.
Sa construction a débutée en 1842, le jour de Noël (c’est le roi lui-même qui a posé la première pierre) et a nécessité pour cela la démolition de 72 églises grecques (afin de récupérer les pierres) !
Au final, trois architectes et 20 ans de travaux ont été nécessaires à l’édification de cette cathédrale.
La cathédrale d’Athènes
http://www.azurever.com/grece/magazine/grece-athenes-eglises.php3
L’église Panagia Gorgoepikoos ou Agios Eleftherios (petite métropole) :
Cette jolie église, assez petite, et datant du XIIème siècle, est considérée comme l’une des plus belles églises byzantines de la capitale.
Située juste à côté de la cathédrale d’Athènes, elle a été construite sur les ruines d’un temple antique.
Flamme olympique 2004 et Parthénon
http://www.orthodoxworld.ru/fr/hram/1/index.htm
Le chrétien d'Occident, entrant dans une église pendant la célébration de la liturgie, se trouve transporté dans un autre monde. Il pénêtre dans un lieu dont la forme et le décor sont entièrement subordonnés à la tradition, où chaque élément a sa signification. Ayant traversé le transept, il se trouve dans une nef carrée, absoluement vide, si l'on excepte quelques chaises reservées aux malades et aux personnes faibles ou agées. Levant la tête, il rencontre le regard majestueux du Christ Pantocrator, posé sur lui depuis les hauteurs de la coupole centrale. Autour du tambour soutenant la coupole, sont représentés les prophêtes, les apôtres et les saints confesseurs, sur les voutes entourant la coupole, les chérubins et les séraphins, les quatre évangélistes, des scènes de la vie du Christ ; parmi celles-ci on représente habituellement celles qui font l'objet d'une fête spéciale. A l'étage inférieur, sur les murs, sont représentés les moines et les grands ascètes, les martyrs, les confesseurs et les pontifes.
A l'arrière, sur le mur occidental de la nef, est représentée la Dormition de la Mère de Dieu tandis que du côté oriental s'élève l'iconostase, ce mur d'icônes séparant l'autel de la nef. Selon les églises, elle peut être relativement basse ou au contraire atteindre la voыte. Au centre de l'iconostase, une double porte ; sur les côtés, des portes à un seul battant. Les iconostases les plus hautes développent habituellement les thèmes déjà rencontrés sur les parois de la nef. A droite des portes centrales, appelées aussi portes royales, se trouve l'icône du Christ Pantocrator, à gauche celle de la Mère de Dieu avec l'Enfant Jésus. Sur les portes centrales est représentée l'Annonciation, sur les portes nord et sud les archanges Michel et Gabriel ou les saints diacres. Juste au dessus des portes royales est placée l'icône de la Sainte Cêne. Le second rang d'icônes rappelle les oeuvres salvatrices du Christ au cours de sa vie terrestre, auxquelles sont dévolues les fêtes les plus importantes du calendrier ecclésial. Au troisième rang, les apôtres sont tournés dans une attitude de prière vers les principaux intercesseurs du genre humain, la Mère de Dieu et saint Jean Baptiste, qui encadrent le Christ assis sur son trône de gloire. On trouve parfois un quatrième rang avec les prophêtes entourant des deux côtés la Vierge à l'Enfant. Toute l'iconostase est dominée par une croix où se développe l'iconographie de la crucifixion du Sauveur encadré de la Mère de Dieu et de l'évangéliste Jean. On ne trouve pas dans l'église de représentation en volume.
Lorsque les portes royales sont ouvertes, au milieu du choeur en forme d'abside demi-circulaire, les fidèles peuvent entrevoir un autel de forme cubique, richement orné, où sont disposés une croix, des chandeliers et une custode en forme d'église: le pain consacré au cours de l'Eucharistie y est conservé. Le fidèle peut aussi apercevoir le décor du choeur: sur les rangs inférieurs, les évêques, revétus des habits liturgiques et tournés vers l'autel. Au dessus d'eux, le Christ communie les Apôtres, d'une main au pain consacré, de l'autre à la coupe. De la coupole demi-sphérique de l'abside, au dessus de l'autel, la Mère de Dieu dont l'image est souvent visible depuis la nef, semble regarder la scène. Le sacrificiel sur lequel sont préparés le pain et le vin eucharistique est lui caché aux yeux des fidèles: on ne l'apercevoit que depuis les portes septentrionales de l'iconostase. Ils ne verront pas non plus les fresques représentants la nativité, la mort et la mise au tombeau du Christ, pas plus qu'ils ne pourront s'intéreser à la partie sud de l'abside qui fait office de sacristie.
L'atmosphère des églises orthodoxes, avec leurs veilleuses, leurs cierges et le parfum pénétrant de l'encens diffère radicalement de l'atmosphère à laquelle le chrétien d'Occident est habitué. L'église y apparait bien plus que le lieu de la prière commune: elle est l'image du ciel sur la terre. Si les parties inférieures de la nef représentent le monde visible, la coupole et plus encore le choeur sont les symboles du ciel où les anges, les archanges et toutes les puissances céléstes adorent inlassablement le Dieu-Trinité.
La visite d'une église orthodoxe éveille en général chez le chrétien occidental un tremblement sacré. Il remarque que les orthodoxes se sentent plus à l'aise dans leur église que lui-même dans l'atmosphère de simplicité, voire de dépouillement qui lui est familière. Entrant dans l'église, les chrétiens orthodoxes en font le tour, embrassent les icônes, allument des cierges et prient devant elles. Ils apportent souvent à la porte septentrionale de l'iconostase un petit pain rond appelé «prosphore» (offrande) et la remettent au diacre ou aux servants d'autel avec la liste des vivants et des défunts dont ils veulent faire mémoire. L'atmosphère se distingue par sa piété en même temps que par la diversité des formes de celle-ci, et ce d'autant plus que les sièges sont absents. Dans les églises occidentales au contraire on trouve généralement des bancs ou des chaises.
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