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Feu sacré

 

 

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rome

L'Antiquité

Rome était la capitale de l'Empire romain. Elle a conservé de nombreux monuments antiques, dont le Colisée est l'un des plus célèbres. Dans cet amphithéâtre qui pouvait accueillir jusqu'à 60 000 personnes avaient lieu, entre autres, des combats de gladiateurs et d’animaux. Édifié entre 70 et 80, c'est l'œuvre des empereurs Vespasien et Titus. Autre exemple de monumentalité, le Circus Maximus, qui connut son apogée au IIIe siècle : il mesurait alors 600 mètres de long pour 200 mètres dans sa plus grande largeur, et près de 250 000 spectateurs pouvaient assister à ses courses de chevaux.

Le quartier du Forum romain et du Colisée, cœur de la ville antique, est dominé, entre autres, par l'arc de Constantin, érigé en 315 pour commémorer la victoire de l’Empereur Constantin sur Maxence, l'arc de Titus, l'arc de Septime Sévère. Les Forums impériaux, le Capitole et les musées capitolins, le Panthéon, les thermes de Dioclétien et de Caracalla et les onze Aqueducs de Rome, les catacombes sont autant d'autres monuments célèbres. Le Forum romain était, au temps de l'Antiquité, une grande place où les Romains se rassemblaient pour discuter d'affaires. C'était là que siégeait la Curie(Sénat). Cette place était le centre religieux et économique de l'Empire romain. En effet, il y avait de nombreux temples, dont le temple de Jupiter, le temple de Juno Moneta, où le trésor de Rome était conservé, le temple de Vesta, contenant le feu sacré, bref, l'ensemble des symboles de la culture romaine. Au Moyen Âge, les vestiges se sont enfouis sous la terre. Aujourd'hui, le Forum est composé de ruines.

Il contient le feu sacré[13], le Palladium (une effigie de Minerve) apporté par Énée depuis Troie[1],[14] ainsi que d'autres objets sacrés, qui sont gardés dans des recoins secrets appelés penus Vestae[15],[16], mais pas de statues de la déesse elle-même[17].

Ce temple est sans doute incendié lors du sac de Rome en 390 av. J.-C.[18],[19], et à nouveau en 241 av. J.-C., lorsque un des pontifes, Lucius Caecilius Metellus se précipite dans le temple en flammes et sauve les objets sacrés dont le Palladium, y perdant la vue[1],[20],[21],[22],[23],[24]. Cicéron affirme que c'est la vue des objets sacrés qui le rend aveugle, et non l'incendie[25].

 http://www.grecehotels.com/mythologie-grece/mythologie-grecque.htma Mythoogie Grecque: Les Dieux du mont Olympe dans la mythologie grecque

Après avoir triomphé sur son père (Cronos), Zeus et ses frères se partage le monde. Zeus s'approprie du ciel, Poséidon de la mer et Hadès du monde souterrain. Zeus vécut avec ses frères et sœurs, et ses enfants au sommet du Mont Olympe qui était la résidence des Dieux Grecs.

Située entre la Macédoine et la Thessalie le Mont Olympe est le plus haut sommet d’une rangé de montagnes. Les principaux dieux de l'Olympe sont au nombre de douze. Cependant plusieurs autres divinités et dieux y vivent.

 

 

 

Zeus
Tous ce qu'il faut savoir sue la mythologie grecque"Père des Dieux et des Hommes" Zeus est le dieu le plus célèbre de la mythologie grecque. Souverain du ciel, il est le puissant auteur de tous les phénomènes qui avaient pour théâtre les hauteurs de l'espace et l'étendue des airs.

Zeus, en effet, pouvait à son gré obscurcir le ciel, rassembler les nuées, déchainer les orages, darder en tout lieu sa foudre étincelante et faire trembler ses ennemies. Dernier fils de Cronos et de Rhéa, Zeus roi des Olympiens, est sage et rusé. Epoux de Justice, père de Droit et des Destinées, il est le créateur et l'organisateur du monde universel, l'inflexible vengeur, par le feu de sa foudre, de l'ordre intransgressible qu'il a su établir selon de justes droits. Zeus est la personnification du droit et de la justice.

Marié à Héra qui veillait aux lois du mariage, Zeus est au contraire connu pour son infidélité. Il est sans aucun doute, le mari le plus infidèle de l'histoire.

 

 

 

 http://www.azurever.com/grece/magazine/grece-dieux-olympe-hestoa-ares-athena-apollon.php3

Hestia :

Sœur de Zeus, Hestia est la déesse du foyer : c’est elle qui veillait sur chaque demeure et lui assurait bien-être, calme et douceur de vivre.

Dans chaque demeure, on trouvait le « foyer d’Hestia » (petit autel situé dans la pièce de vie) afin d’honorer la déesse, tout comme dans chaque cité grecque brûlait le feu sacré d’Hestia dans un autel qui lui était dédié (généralement sur la grande place).

Ce feu sacré était censé accompagner les combattants quand ils partaient en guerre. Divinité modeste, Hestia n’en était pas moins la déesse la plus aimée et la plus respectée du mont Olympe.

 http://www.weblettres.net/blogs/article.php?w=AlphaOmegaPhilo&e_id=5801

Héstia est la fille aînée de Cronos et Rhéa.

C’est une déesse vierge, déesse du foyer et du feu, devant lequel tout enfant nouveau-né doit être porté avant d'être admis dans la famille. Elle est aussi la protectrice de la famille. Chaque repas commençait et finissait par une offrance à son intention.

Ses symboles sont la corne d'abondance et le feu sacré.

 http://torchrelay.beijing2008.cn/fr/archives/ancient/

Les origines

Depuis toujours, le feu occupe une place très importante dans la vie de l'homme. La connaissance du feu, sa maîtrise et son utilisation figurent parmi les conquêtes les plus importantes de l'humanité. La place qu'occupe le feu dans les croyances de la plupart des peuples tend à le prouver.

Les Grecs de l'Antiquité, par exemple, expliquent la présence du feu sur terre à travers le mythe de Prométhée.

L'origine divine du feu en fait un élément sacré et les Grecs avaient pour habitude de faire brûler un feu en permanence devant les principaux temples. La pureté de ce feu était garantie par la technique d'allumage : la flamme était obtenue par les rayons du soleil captés au centre d'un récipient appelé skaphia, (l'ancêtre du miroir parabolique utilisé aujourd'hui pour l'allumage de la flamme olympique).

LE FEU À OLYMPIE

Au sanctuaire d'Olympie, là où se déroulaient les Jeux Olympiques de l'Antiquité, une flamme brûlait en permanence sur l'autel de la déesse Hestia situé dans le Prytanée (bâtiment utilisé pour les grands banquets offerts aux athlètes à la fin des Jeux). Obtenu également par la chaleur des rayons solaires, ce feu servait à allumer les autres feux du sanctuaire.

Des tels feux était allumés sur les autels de Zeus et d'Héra, situés devant leur temple. En l'honneur des dieux, des sacrifices d'animaux avaient lieu au même endroit. Aujourd'hui il ne reste plus aucune trace des autels, mais la cérémonie actuelle d'allumage de la flamme olympique devant le temple d'Héra rappelle ces faits.

LES RELAIS DE L'ANTIQUITÉ

Il existait à Athènes des courses aux flambeaux (lampadédromie) organisées en l'honneur de certains dieux, entre autres Prométhée. Ces courses commémoraient l'acte de Prométhée qui, en dérobant le feu, apportait aux hommes le savoir et la connaissance. La transmission du flambeau se faisait par relayeurs. Le premier arrivé à l'autel du dieu avait l'honneur d'en renouveler le feu.

LES MESSAGERS DE LA TRÊVE SACRÉE

Aucun relais, aucune course aux flambeaux n'ont jamais été organisés dans le cadre des Jeux Panhelléniques (Jeux organisés à Olympie, Némée, Delphes et Isthmie). [voir fiches « Les Jeux de l'Antiquité »]. Cependant, quelque temps avant les Jeux, des messagers couronnés d'olivier partaient d'Elis pour annoncer aux autres cités grecques la date exacte des compétitions. Ils invitaient les citoyens à venir à Olympie et proclamaient la trêve sacrée (ékécheiria), c'est-à-dire l'obligation de cesser les combats pendant la période des Jeux. De cette manière, les athlètes et les spectateurs pouvaient voyager sans crainte jusqu'à Olympie.

 http://franceolympique.com/art/151-flamme_olympique.html

Introduction


La flamme des Jeux d'Athènes en 2004

La flamme olympique est un symbole fondamental du mouvement olympique puisqu’elle s’inscrit dans un ensemble de cérémonies, de rites et de principes qui confèrent aux Jeux un caractère sacré les différenciant de toute autre compétition mondiale.

Elle est, avec l’appellation même d’olympique, le principal trait d’union entre l’Antiquité et l’ère moderne, un symbole qui fait appel aux représentations culturelles, et le plus souvent mystiques, de l’élément feu.

La difficulté à obtenir et à conserver cette source du progrès et de la destruction contribue à expliquer qu’il fut l’objet d’une adoration mêlée d'un respect superstitieux.

 http://multimedia.olympic.org/pdf/fr_report_655.pdf

 

 

L’allumage de la flamme aujourd’hui

 

 

Jeux d’hiver

 

Tout commence à Olympie en Grèce. À quelques mois de l’ouverture des Jeux Olympiques,

 

Jeux d’été

 

Oslo en 1952

, le feu

est présent dans le stade à deux occasions – Garmisch-Partenkirchen en 1936 et Saint Moritz

en 1948. Depuis1964, la torche est allumée de la même manière que pour les Jeux d’été,

à une différence près : la remise de la torche au premier relayeur s’effectue à proximité du

monument à la mémoire de Pierre de Coubertin, situé dans un bosquet près du stade.

 

 

une cérémonie est organisée sur le site antique des Jeux Olympiques, sur l’ancien sanctuaire

d’Olympie. La flamme est allumée devant les ruines du temple d’Héra par des actrices jouant

le rôle des prêtresses. La chorégraphie et les costumes utilisés lors de la cérémonie sont

inspirés de ceux de l’Antiquité.

La flamme est allumée à la manière ancienne grâce aux rayons du soleil recueillis dans

le miroir parabolique. La flamme olympique ne peut être allumée que de cette façon. La

flamme est placée dans une urne et transportée dans le stade antique où elle est remise

au premier relayeur par la grande prêtresse chargée de cette opération.

Ce processus est effectué plusieurs mois avant l’ouverture des Jeux pour permettre au

relais de la flamme de se faire jusqu’à la ville hôte.

Avant l’apparition du relais de la flamme pour les Jeux d’hiver à

 

D’Olympie à Athènes …

 

l’organisation de l’allumage de la  

flamme à Olympie est toujours confiée au Comité Olympique

grec. C’est lui qui prend aussi en charge le transport de la

flamme par les relayeurs jusqu’à Athènes, plus exactement,

au stade Panathinaïkos qui a accueilli les Jeux de 1896.

 

 

 

Le relais antique – Rome 1960

 

 

 

Le relais du Nouveau Monde – Mexico City 1968

 

 

 

 

 

Le relais cherche à mettre en évidence les deux pôles de la civilisation classique, Athènes

et Rome. Ceci permet de revaloriser des sites antiques peu connus en Grèce et en Italie.

Pour la première fois, le relais est télévisé et suivi de près par les médias.

 

 

 

Suite !!

 

 

 

 

 

 

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