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Fleur de Lys - Ecole de Xalki de la Sainte Trinité

Péribleptos

Monastère de la Péribleptos

Le monastère de la Péribleptos est situé dans l'angle sud-est de l'enceinte extérieure de la ville, et est construit à flanc de falaise.

On peut même dire, dans une certaine mesure, sous la paroi rocheuse. Il y a peu de sources concernant l'histoire de ce monastère et les informations sont maigres. On possède cependant deux indications concernant les fondateurs de l'édifice : sans doute un couple de nobles, représenté sur le mur ouest du rez-de-chaussée. Un autre monogramme au-dessus de la porte menant au narthex, plus tardive, porte la mention « de Léon Mavropapas » ;

les Mavropapas étant une famille de notables de Mistra[135].

On trouve également un bas-relief avec deux lions rampants, de chaque côté d'un monogramme comportant l'inscription Péribleptos,

que l'on peut traduire par « celle qui est admirée »[136].

Sur ce bas-relief apparaissent également des fleurs de lys que l'on retrouve en divers autres endroits,

gravées aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur des absides.

Ces lys étaient probablement l'emblème de la famille fondatrice de l'édifice et rappellent fortement l'influence franque[135].

L'explication de l'emplacement peu commun de ce monastère résiderait dans le fait qu'un lieu de culte chrétien,

plus ancien, se serait établi dans la grotte, à l'ouest du bâtiment, qui est maintenant la chapelle Sainte-Catherine.

  Le monastère de la Péribleptos aurait été construit au XIVe siècle avec, pour but, le développement de l'autel primitif.

Fleur de lys

Fleur de lys "standard"

La fleur de lys (ou fleur de lis) () est un meuble héraldique,

c'est l'une des quatre figures les plus populaires avec les multiples croix, l'aigle et le lion.

Elle est habituellement classée parmi les figures naturelles.

Symbole marial préhéraldique[1], elle est devenue à partir du Moyen Âge, d'or sur champ d'azur, l'emblème de la royauté française.

Il s'agit également de l'un des plus anciens emblèmes au monde[2].

La fleur de lys a peu à voir avec le lys (Lilium sp) que l'on trouve dans les jardins (utilisé plus rarement en héraldique sous le nom de lys (ou lis) de jardin).

Les derniers despotes
Constantin

Contrairement à son prédécesseur, Constantin rêve de gloire militaire.

Sa première tâche est de faire reconstruire l'Hexamilion,

ce qu'il réussit en faisant payer aux nobles des droits et des privilèges que ses prédécesseurs leur avaient enlevés.

Puis, il traverse l'isthme de Corinthe en 1444 dans l'espoir de mener une croisade aux côtés de Vladislav de Hongrie.

Son triomphe est de courte durée et, dès la fin de l'été 1446, Murad II reprend les territoires capturés par Constantin en Grèce.

Murad entre dans le Péloponnèse après un siège de quinze jours de l'Hexamilion, qu'il fait détruire.

Il s'avance ensuite jusqu'à Clarenza. Une autre armée, menée par Turakhan Bey, est censée prendre Mistra,

mais il semble que les conditions météorologiques les empêchent de traverser les montagnes et d'atteindre la vallée de Sparte[50],[51].

À la mort de Jean VIII Paléologue en 1448, l'impératrice envoie Alexius Lascaris Philanthropenus et Manuel Paléologue

à Mistra porter la couronne impériale à Constantin.

Constantin y est couronné empereur par le métropolite de Lacédémone le 6 janvier 1449.

On ne sait pas si la cérémonie s'est déroulée dans la Métropole, probablement trop exiguë pour accueillir la délégation présente, ou bien dans l'église du palais, Sainte-Sophie, encore plus petite[52].

Constantin quitte Mistra pour Constantinople le 12 mars 1449.

 

Mur de l'Hexamilion

Le mur de l'Hexamilion

('Εξαμίλιον τείχος, « mur de six milles »)

est une muraille

de défensedatant de la fin de l'Empire romain, barrant l'Isthme de Corinthe

et destinée à défendre la seule route terrestre existant entre la péninsule du Péloponnèse

et la Grèce continentale.

 

Histoire de l'Hexamilion
Situation de l'Hexamilion et vestiges du canal de Néron, relevé de l'ingénieur Béla Gerster, vers 1880, avant la construction du canal moderne

Le mur a finalement été construit très tardivement, entre 408 et 450,

sous le règne de la Théodose II, lors des grandes invasions de la fin de l'Empire romain.

L'attaque d'Alaric sur la Grèce en 396 ou le sac de Rome en 410 par les Wisigoths peuvent avoir motivé

la construction de l'Hexamilion, qui comprend des tours, des bastions côtiers et au minimum une forteresse[1].

La seule forteresse connue comprenait deux portes (nord et sud), dont celle du nord tenait lieu d'entrée officielle vers le Péloponnèse[2]. Le mur est constitué de deux parements de pierre taillée enserrant un blocage de mortier et gravats.

Le temps nécessaire à sa construction est inconnu,

mais l'ampleur de l'entreprise est telle que l'Hexamilion est

de fait la plus importante structure archéologique de toute la Grèce.

Toutes les pierres des constructions des environs furent cannibalisées à cet effet, soit intégrées directement dans le mur, comme ce fut cas pour le temple de Poséidon à Isthmia, soit réduites à l'état de chaux, sort réservé aux temples de l'Héraion de Perachora et à une importante partie de la statuaire antique de Corinthe.

Sous le règne de Justinien, le mur a été fortifié de tours supplémentaires, pour atteindre le nombre total de 153. L'usage militaire semble avoir diminué après le VIIe siècle, et au XIe siècle, des constructions domestiques vinrent se greffer sur la muraille. En 1415, l'empereur byzantin Manuel II Paléologue supervisa personnellement des restaurations sur une période de quarante jours, et le coût élevé de cet effort provoqua des troubles parmi l'élite locale. Les Ottomans y ouvrirent une brèche en 1423. Le despote Constantin Paléologue restaura de nouveau le mur en 1444, mais les Turcs le franchirent encore en 1446. Après la conquête ottomane du Péloponnèse en 1460, le mur fut définitivement abandonné.

Au cours de son histoire, le mur n'a jamais réussi à remplir la fonction pour laquelle il avait été construit, si ce n'est comme moyen de dissuasion.

Des éléments importants du mur sont conservés au sud du Canal de Corinthe

et près du sanctuaire de Poséidon à Isthmia.

Isthmia (en grec : Ισθμια) est un site archéologique,

ancien sanctuaire de Poséidon, situé au nord-est du Péloponnèse (Grèce)

près de l'isthme de Corinthe où, dans l'Antiquité, avaient lieu

les jeux Isthmiques (en grec ancien : Ἰσθμιάδες - Isthmiades).

Flamininus restaurant la liberté des cités grecques aux Jeux Isthmiques, caricature de John Leech, 1850
Description

Il reste peu d'éléments visibles du sanctuaire.

On peut mentionner les fondations du temple rond de Palémon (Palaemon) ou Mélicerte,

construit par l'empereur Hadrien,

où le jeune homme était représenté chevauchant un dauphin.

Seules subsistent également les fondations du temple de Poséidon, construit en -465,

dans lequel Hérode Atticus fit placer un groupe représentant Poséidon et Amphitrite.

Particulièrement remarquable est la ligne de départ du stade, où des barrières de bois commandées

par un faisceau de cordelettes guidées par des cavaliers de bronze (encore en place)

s'abaissaient devant les coureurs, donnant le signal du départ.

Un théâtre a été mis au jour.

Musée archéologique

Le musée, ouvert en 1978, expose les objets découverts sur le site

et dans les environs immédiats, principalement dans les fouilles du port antique de Cenchrées,

dont de grandes plaques décoratives de verre coloré[1].

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mistra

En 1821, éclate la guerre d'indépendance grecque.

Germanos de Patras lève l'étendard de la révolte et, dans toute la péninsule, on assiste à des soulèvements de la population grecque. Les Turcs se réfugient dans les cités fortifiées. Il semble inévitable qu'à Mistra les Grecs se soulèvent également : ils sont décrits par Pouqueville comme les seuls habitants de la Morée à « fixer le Turc d'un œil assuré » car ils sont « braves jusqu'à la témérité[92] ».

Les Turcs ne cherchent pas à résister dans la ville,

et se réfugient dans la capitale du Péloponnèse, Tripolizza,

apparemment sans être attaqués contrairement à ce qui se passe dans d'autres endroits ;

une grande partie périt cependant ensuite lors du massacre suivant la chute de Tripolizza[ 

Germanόs de Pátras

Germain, évêque de Patras

(en grec moderne Παλαιών Πατρών Γερμανός),

dans le monde Georges Gotzias, (25 mars 1771- 30 mai 1826)

était un métropolite de Patras en Grèce,

de l'ancienne Patras du Péloponnèse

(d'où son nom en grec) par opposition à la nouvelle Patras de Phthiotide, près de Lamía.

Il naquit à Dimitsana, en Arcadie, dans le Péloponnèse.

Selon la tradition, il aurait béni l'étendard de la liberté au Monastère Sainte-Laure (Aghía Lávra) près de Kalavryta, le 25 mars 1821,

donnant ainsi le signal de l'insurrection de la guerre d'indépendance grecque.

Après un séjour en Europe de l'ouest, il retourna en Grèce en 1824.

En avril 1826, il fut nommé président de l'une des deux commissions gouvernementales créées lors de la troisième Assemblée nationale grecque,

mais mourut quelques semaines plus tard de maladie à Nauplie.

 

Le monastère Sainte-Laure, situé près de Kalavryta dans le Péloponnèse, est une laure. Appelé en grec Aghia-Lavra,

il est aujourd'hui occupé par des moines,

mais ouvert aux visiteurs auxquels il offre un intéressant musée abritant reliques et manuscrits.

C'est là que le 25 mars 1821, le métropolite (évêque) Germanos de Patras

aurait béni les insurgés grecs qui avaient prêté serment de combattre

pour libérer leur patrie de la domination ottomane.

 

Sa statue orne l'esplanade de l'Université à Athènes

 

Laure (monachisme)

 Dans l'Église orthodoxe et dans les Églises orientales,

une laure est un établissement monastique

où les moines vivent, durant la semaine, comme des ermites dispersés

dans une région éloignée des zones habitées.

Le samedi soir, le dimanche et les jours de fête,

ils se rassemblent pour chanter ensemble les offices,

prendre les repas en commun

et recevoir l'enseignement d'un ancien.

 

Histoire

D'un point de vue historique,

comme Cyrille de Scythopolis disait de saint Euthyme qu'il avait fondé

sa laure "sur le modèle de Pharân"

  (la première des trois laures fondées par saint Chariton, au début du IVe siècle),

on peut considérer que le terme "laure" désignait surtout le mode de prière :

les moines prient seuls dans leur cellule (sauf une fois par semaine),

et non pas en commun dans l'église, comme c'est le cas dans le cénobitisme.

De fait les moines des laures palestiniennes à l'époque byzantine, sauf exception,

vivaient dans le même monastère comme n'importe quels autres.

Une description du poète saint Sidoine Apollinaire permet de penser

que tel était le mode de vie des moines de Moustiers-Sainte-Marie au Ve siècle.

Les laures actuelles

On peut relever au moins sept monastères qui sont appelés « laures ».

Dans l’Église orthodoxe grecque, on recense la laure de saint Sabas en Palestine, le monastère de la Grande Laure de l'Athos (ou Grande Laure) dans la république monastique du Mont Athos, et le monastère Sainte-Laure de Kalavryta dans le Péloponnèse.

L' Église orthodoxe russe comprend la laure des Grottes de Kiev, la laure de la Trinité-Saint-Serge de Serguiev Possad, la laure de saint Daniel de Moscou et la laure de saint Alexandre Nievski de Saint-Pétersbourg.

Il existe aussi des laures dans l'Église grecque-catholique ukrainienne. [1]

 http://el.wikipedia.org/wiki/%CE%91%CF%81%CF%87%CE%B9%CE%B5%CF%80%CE%AF%CF%83%CE%BA%CE%BF%CF%80%CE%BF%CF%82_%CE%93%CE%B5%CF%81%CE%BC%CE%B1%CE%BD%CF%8C%CF%82

 http://el.wikipedia.org/wiki/%CE%98%CE%B5%CE%BF%CE%BB%CE%BF%CE%B3%CE%B9%CE%BA%CE%AE_%CE%A3%CF%87%CE%BF%CE%BB%CE%AE_%CF%84%CE%B7%CF%82_%CE%A7%CE%AC%CE%BB%CE%BA%CE%B7%CF%82

http://www.microsofttranslator.com/BV.aspx?ref=IE8Activity&a=http%3A%2F%2Fel.wikipedia.org%2Fwiki%2F%25CE%2598%25CE%25B5%25CE%25BF%25CE%25BB%25CE%25BF%25CE%25B3%25CE%25B9%25CE%25BA%25CE%25AE_%25CE%25A3%25CF%2587%25CE%25BF%25CE%25BB%25CE%25AE_%25CF%2584%25CE%25B7%25CF%2582_%25CE%25A7%25CE%25AC%25CE%25BB%25CE%25BA%25CE%25B7%25CF%2582

Monastère de Agia Triada Chalki

Au début du IXe siècle mentionne l'existence du monastère de despotes

dans l'île de Halki, qui avait fui le Theodore de Studion.

Le monastère est considéré comme ayant cette matchs

du monastère de la Sainte Trinité.

 Certains désignent comme le monastère de Eswptroy.

 Le 1844 dans la rénovation du monastère furent nombreuses antiquités

et une sculpture d'epitymbio,

qui étaient considérés comme appartenant

à l'ancien temple d'Apollon.

Le 860 siège monastère fut dépouillée de Rus et est tombé en désuétude. Tradition relie la rénovation de la Patriarche Fwtio.

Le monastère est resté en exil et de l'impératrice Theodosia, l'empereur épouse Léon V l'arménien.

 Du passé byzantin une autre pièce qui porte la Reine Catherine Komnene peut être devenu 1063ici en laboysa, le nom de "Étrangère" nonne.

Toutefois, l'importance du monastère AG. Trinity consiste en la création 1844 ici de dividende École théologique de Chalki

par Patriarche allemand Iv.

Depuis 150 ans, l'école a été la pépinière des évêques et des théologiens Église orthodoxe.

Le monastère exploite à ce jour, mais pas à l'école.

Ιερά Θεολογική Σχολή της Χάλκης

Συντεταγμένες: 40°52′56″N 29°05′42″E / 40.8822, 29.095

Η Ιερά Θεολογική Σχολή της Χάλκης

Η Ἱερὰ Θεολογικὴ Σχολὴ τῆς Χάλκης πριν κλειστεί από τις τούρκικες αρχές το 1971 ήταν η κύρια θεολογική σχολή του Οικουμενικού Πατριαρχείου της Κωνσταντινούπολης.

Η σχολή βρισκόταν στη Χάλκη, ένα από τα Πριγκηπονήσια.

Η σχολή στεγαζόταν στη Μονή της Αγίας Τριάδας,

η οποία ιδρύθηκε από τον Πατριάρχη Φώτιο Α΄ της Κωνσταντινούπολης (858-861 και 878-886).

Το 1844, ο Πατριάρχης Γερμανός Δ΄ δημιούργησε στις εγκαταστάσεις της μονής θεολογική σχολή, η οποία εγκαινιάστηκε στις 23 Σεπτεμβρίου 1844.

Όλα τα κτήρια εκτός από ένα παρεκκλήσι καταστράφηκαν σε έναν σεισμό τον Ιούνιο του 1894,

αλλά επισκευάστηκαν από τον αρχιτέκτονα Περικλή Φωτιάδη και η σχολή εγκαινιάστηκε πάλι τον Οκτώβριο του 1896. Σημαντική ανακαίνιση έγινε στη δεκαετία του '50.

Πολλοί Ορθόδοξοι θεολόγοι, ιερείς, επίσκοποι και πατριάρχες φοίτησαν στη Χάλκη,

συμπεριλαμβανομένου και του Πατριάρχη Βαρθολομαίου.

Οι φοιτητές στη Χάλκη περιλάμβαναν όχι μόνο γηγενείς Έλληνες,

αλλά και Ορθόδοξους Χριστιανούς από όλο τον κόσμο, προσδίδοντας στη σχολή έναν διεθνή χαρακτήρα.

Επίσης, πολλοί πατριάρχες, επίσκοποι και πρώην δάσκαλοι έχουν ταφεί σε ειδική περιοχή του κήπου.

Οι θεολογικές εγκαταστάσεις περιλαμβάνουν το Παρεκκλήσι της Αγίας Τριάδας, κοιτώνες, αναρρωτήριο, γραφεία,

και την σχολική βιβλιοθήκη η οποία κατέχει σημαντική ιστορική συλλογή βιβλίων, περιοδικών, και χειρογράφων.

Το 1971 η σχολή έκλεισε εξαιτίας ενός τουρκικού νόμου που απαγόρευε τη λειτουργία ιδιωτικών πανεπιστημίων.

Το 1998 η επιτροπή ιδιοκτητών της σχολής διατάχθηκε να διαλυθεί, αλλά διεθνής κριτική έπεισε την Άγκυρα να ακυρώσει τη διαταγή.

Η Χάλκη έχει λάβει διεθνή προσοχή τα τελευταία χρόνια. Ο Πρόεδρος των ΗΠΑ, Μπιλ Κλίντον επισκέφτηκε την Χάλκη στην επίσκεψή του στην Τουρκία το 1999 και ζήτησε από τον Τούρκο Πρόεδρο Σουλεϊμάν Ντεμιρέλ να επιτρέψει την επαναλειτουργία της σχολής.

Τον Οκτώβριο του 1998, το Κογκρέσο των ΗΠΑ υποστήριξε την επαναλειτουργία της Χάλκης.

Η Ευρωπαϊκή Ένωση έχει αναφέρει επίσης το ζήτημα στις διαπραγματεύσεις για την τουρκική προσχώρηση στην ΕΕ.

Το Πατριαρχείο της Κωνσταντινούπολης ελπίζει ότι οι υποσχέσεις από την τουρκική κυβέρνηση ότι θα επιτραπεί η επαναλειτουργία της Χάλκης θα τηρηθούν.

 

Suite !!

 

 

 

 

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