Mystères Mithraem

 

 

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhr_0035-1423_1981_num_198_3_4843

Mysteria Mithrae. Atti del Seminario Internazionale su La specificità storico-religiosa dei Misteri di Mithra, con particolare riferimento alle fonti documentarie di Roma e Ostia

 

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_1934_num_78_2_76472

 

 

Lien intéressant sur les découvertes du culte Mithrae à Doura-Europos, avec des écritures grecques et latines.ci-dessus.

 

 

 

Fichier:UtrechtIconoclasm.jpg

Statues dans la cathédrale Saint Martin à Utrecht, attaquées durant l'iconoclasme

 

 

olite comme Ostie.

Le premier fut celui de la déesse phrygienne Cybèle, la Magna Mater. Son

  

  

  

 Ostie. 

  

Tauroctonie

Tauroctonie, relief romain du IIeIIIe siècle, musée du Louvre
Fichier:Mithras tauroctony Louvre Ma3441.jpg
 

La tauroctonie est une représentation religieuse en relation avec l'univers ; le dieu grec romanisé Mithra, sur l'ordre du Soleil qu'il regarde par dessus son épaule, égorge un taureau dont le sang fertilise le monde. Les forces du Mal représentées par un chien, un serpent et un scorpion mordent l'animal pour s'opposer au sacrifice et à la fécondation du monde.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mithra

Cette scène est d'ordre cosmique et faisait partie du culte du dieu Mithra. Sous la Rome antique, ce culte intiatique fut véhiculé dans tout l'Empire par les légions romaines.

Le mithraïsme est un culte à mystères. Le fidèle devait subir une initiation pour être pleinement accepté parmi les plus fervents fidèles. Ce type de culte, contrairement à ce que l'on a longtemps cru, n'est pas d'origine "orientale" mais grecque[7]. Les initiés portaient chacun un grade bien précis: corbeau (corax), fiancé ou jeune marié (nymphus), le soldat (miles), le lion (leo), le Perse (Perses), l'Heliodrome (Heliodromus) et le Père (Pater). Ces grades sont principalement attestés en Italie, notamment par de nombreuses inscriptions et la mosaïque du sanctuaire de "Sette Sfere" à Ostie[8] ainsi que grâce au témoignage de Jérôme de Stridon[9]

 

 

Les sanctuaires

Le sanctuaire dédié à Mithra porte actuellement le nom mithraeum ou de mithrée. Dans l'Antiquité, on les appelait généralement speleaum (grotte) en Italie, ou templum (temple, sanctuaire) dans les provinces[10]. Ces sanctuaires étaient parfois installés à l'intérieur de grottes naturelles. Cependant, la plupart de ces temples étaient construits artificiellement et se contentaient de reproduire la forme d'une grotte : ils étaient généralement au moins partiellement souterrains. La grotte est sans conteste un lieu important pour les fidèles de Mithra puisque le dieu serait né dans l'une d'elles[11].

Les plafonds de certains sanctuaires représentent le ciel étoilé. Cela a amené plusieurs chercheurs à interpréter le culte de Mithra à travers l'astronomie et l'astrologie[12]. Cependant, ces interprétations sont généralement remises en question à l'heure actuelle[13].

A Rome, la Basilique Saint-Clément-du-Latran possède dans ses sous-sols des vestiges d'un temple mithraique.

En France on a trouvé des sanctuaires dédiés à Mithra à Angers[14], Biesheim, Bordeaux, Bourg-Saint-Andéol[15] ,[16], Septeuil et Strasbourg.

 

Histoire

Cette ancienne église a évolué au fil des siècles, d'une maison privée, site clandestin du culte chrétien du Ie siècle jusqu'à la basilique grand public du VIe siècle, reflétant l'émergence de l'Église catholique, augmentant en légitimité et en pouvoir.

La maison est initialement détenue par le consul et martyr romain Titus Flavius Clemens, l'un des premiers sénateurs romains à se convertir au christianisme qui avait permis que sa maison soit utilisée comme lieu de rencontre secret pour les autres chrétiens, la religion étant interdite à l'époque.

Autel de Mithra

Il existe aussi des traces de culte de païen sur le site. Au IIe siècle, des membres du culte de Mithra construisent un petit temple dédié à Mithra. Un petit espace voûté, incrusté de pierre ponce, imitant une grotte, est utilisé pour les rites d'initiation, jusqu'au IIIe siècle. Un autel de marbre blanc placé en position centrale est sculpté sur les quatre faces d'un bas-relief, Mithra tuant le taureau, de porteurs de torche et d'un serpent[1].

 

 

 

Fichier:Basilica di San Clemente - Abside.jpg 

 Fichier:Mithreum San Clemente.jpg

Fichier:San clemente fresco.jpg

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Saint-Cl%C3%A9ment-du-Latran

La première basilique

Les fouilles réalisées par le père Joseph Mullooly, dans les années 1860 révèlent la première basilique oubliée[2] sous la basilique médiévale.

Les écrits de saint Jérôme en 392 témoignent d'une église dédiée à saint Clément. Après que le christianisme soit devenu religion d'état à Rome en 390, la petite église est agrandie par l'acquisition de l'insula adjacente et d'autres immeubles voisins. Les architectes travaillent sur un complexe de salles et de cours, construisant une nef centrale sur le site de l'église primitive et une abside sur l'ancien Mithraeum. La nouvelle église est consacrée au pape Clément Ier, converti chrétien du Ier siècle et identifié par les historiens ecclésiastiques et patristiques à Titus Flavius Clemens.

Des restaurations sont entreprises au IXe siècle et vers 1080-1099[3]. L'une des plus grandes collections de peintures murales du Moyen Âge précoce, après celles de l'église Sainte-Marie-Antique, se trouve dans la basilique basse de Saint-Clément[4]. Au cours des siècles suivants, Saint-Clément devient une vitrine pour les sculpteurs et les artistes d'église profitant des largesses impériales. La basilique antique est le lieu de conciles présidés par les papes Zosimus (417) et Symmaque (499).

Le dernier événement majeur ayant lieu dans la basilique inférieure est l'élection en tant que pape du cardinal de Saint-Clément, Rainerius, sous le nom de Pascal II, en 1099.

 

Galerie de photos[modifier]

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Suite!!

 

 

 

 

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